Sur son site Proliturgia, Denis Crouan révèle les dernières manigances du Comité hérétique de la Jupe, renommé CCBF, voire “Chrétiens en marche 72” :
“Les représentantes du « Comité de la Jupe » – mouvement anti-catholique soutenu par quelques évêques (NN.SS. Noyer, Rouet, Doré...) – veulent profiter de la faiblesse du clergé et de la grande pagaille qu’on a laissé s’installer dans les célébrations eucharistiques pour faire main-basse sur la liturgie et ainsi prendre en main le destin des paroisses, puis des diocèses, en utilisant les “équipes d’animation pastorale” partout mises en place (Exemple). Autrement dit, avoir le contrôle des fidèles pour les rendre de moins en moins catholiques.
Comment s’y prennent les dirigeantes du « Comité de la Jupe » pour arriver à leur fin ?
1. Faire une proposition pour la liturgie de Pâques : se sont les femmes qui annonceront la Résurrection au cours de la messe (Voir ici) comme cela se faisait au Moyen Age au cours d’une saynète appelée « Visitatio » en latin… Car on sait le latin, au « Comité de la Jupe » ;
2. Justifier cette pratique en la présentant comme « traditionnelle » (c’est incroyable comme la « tradition » sert à tout et à n’importe qui !) et conforme aux enseignements du Concile. Et les membres du « Comité de la Jupe » de se référer à un tout petit passage choisi de Sacrosanctum Concilium tout en oubliant d’ailleurs que cette Constitution traite de la liturgie et non des para-liturgies qui, elles, sont traitées dans le « Directoire sur la piété populaire » ;
3. Annoncer, avec le renfort de « La Croix » et de personnes connues comme le P. André Gouze que la proposition – inspirée par l’Esprit Saint – rencontre un vif succès dans de nombreuses paroisses, y compris des cathédrales… et peut-être même au Vatican (poisson d’avril !);
4. Laisser entendre, à partir d’un salmigondis de citations de documents magistériels qui n’ont aucun rapport entre eux (visiblement, ces dames manquent de connaissances théologiques élémentaires) que ceux qui s’opposent à cette initiative visant à rapprocher les femmes de l’autel (puis, on l’aura compris, du sacerdoce) ne sont que des frustrés, des machos, des gens qui ont « peur de ce qui est sous la jupe des filles » (cf. un message que m’a envoyé Christine Pedotti laquelle, en tant que pur jus d’un mai 68 non digéré, est la tête chercheuse du « Comité de la Jupe ») ;
5. Suggérer que ceux qui s’opposent à l’initiative du « Comité » sont bien connus pour être un peu particuliers : « Je sais exactement qui vous êtes », m’écrit la même Christine Pedotti en s’autorisant à faire des allégations sur ce qu’elle imagine être ma vie privée… Preuve que le « Comité de la Jupe » fonctionne bien sur le mode du KGB ;
6. Proposer de participer à l’établissement d’une carte de France (information reprise par « La Croix ») permettant de connaître les paroisses où « les femmes sont exclues de la liturgie »… autre pratique rappelant les années sombres où des « comités » de gens bien « comme il faut » établissaient des fichiers pour repérer ceux qui… Je n’irai pas plus loin ;
7. Créer des pôles (voir ici à Lyon, à Nantes, à Reims… dans la Sarthe…) où des spécialistes de la délation organiseront des plans d’action et des sondages d’opinion nettement orientés contre la Hiérarchie catholique ; s’infiltrer dans les paroisses (comme ici à Strasbourg) avec la complicité de quelques évêques avant-gardistes ayant le vent en poupe au sein de la Conférence des Evêques de France. On ne peut, par exemple qu’être surpris de constater qu’on retrouve certaines orientations théologiques tant sous la plume de Mme Pedotti que sous celle de Mgr. Doré, ancien Archevêque de Strasbourg ouvertement anti-romain et anti-ratzinguérien… mais qui avait néanmoins été choisi par la CEF pour être son « grand théologien officiel ».
8. Imaginer des rencontres au cours desquelles les participants seront invités à chanter des chants où il est principalement question du « peuple » : « Peuple de baptisés », « Peuple de Dieu, marche joyeux »… etc. Autant de cantiques qui rappelleront aux plus anciens « Le peuple de Dieu qui se traîne à travers l’immense désert » et dont on peut dire sans se tromper qu’il a servi d’amorce au mouvement « populiste » qui s’est introduit dans l’Eglise en profitant des confusions liturgiques post-conciliaires.
9. S’appuyer sur les ambitions des « mamies bigoudis » qui prolifèrent dans les « équipes liturgiques » et autres « équipes d’animation pastorale » et qui ne sont, consciemment ou non, que la version light des responsables du « Comité de la Jupe ».”
Samedi, le relais de cette organisation tenait une réunion dans la Sarthe, au cours de laquelle a été évoquée “l’affaire Riposte catholique”. Sic.
Christine Pedotti, en plus de militer pour l’ordination des femmes, milite pour l’idéologie du genre et pour le lobby homosexuel, allant jusqu’à insulter le Pape, tout en enfilant les perles hérétiques :
“Une fois encore, avec la question du « genre », le catholicisme « officiel », celui qui parle par la bouche de Rome, des évêques et de leurs experts appointés est parti en guerre, tel Don Quichotte, contre un énième moulin à vent. Parce que les précédents ne leur ont pas suffit, voyez-vous ! Après avoir voulu nous faire croire que la Terre était plate, et surtout qu’elle ne tournait pas autour du soleil, après avoir rompu des lances pour essayer de nier l’évolution des espèces et maintenir mordicusque le monde avait été crée en 6 jours, après avoir fulminé contre Freud et ses épigones qui prétendaient que les êtres humains avaient un inconscient sur lequel il leur était bien difficile d’avoir prise, et qui souvent ne nous voulait guère de bien (Citation de Lacan : « Notre inconscient ne nous veut pas de bien »), après avoir mené une bataille stupide pour défendre le monogénisme afin de préserver la fiction d’un premier couple humain commettant un « péché originel », après avoir tenté d’interdire aux époux honnêtement mariés de décider (décider, ouh l’horrible mot ! ) d’avoir des enfants, quand ils le jugeaient souhaitable et dans un nombre qu’ils considéraient raisonnable, au prétexte que les enfants, c’était Dieu qui les donnaient (à charge pour les parents de les nourrir et les éduquer ! ), après avoir finalement permis une « paternité responsable » (la maternité responsable, ces hommes-là ne connaissent pas !) sous la condition que les pratiques conjugales soient contrôlées et mesurées au point que la vie sexuelle d’un couple catholique obéissant ressemble à un jeu sado-maso !, voilà le dernier combat : le genre !
[…] Je n’hésite pas à dire que la parole catholique « officielle » qui s’exprime aujourd’hui contre le « genre » exprime sa haine des femmes « émancipées » et son homophobie. Au fond, une petite caste de mâles glapit : « on n’est pas des gonzesses, on n’est pas des pédés ! », et c’est tout !”
Quand on sait que La Croix, quotidien officiel de la Conférence épiscopale soutient cette clique d’hérétiques, on est en droit de se poser des questions quant à la catholicité des journalistes. Après tout, ce genre de sortie rappelle celle de Nicolas Sénèze, journaliste à La Croix, insultant publiquement le cardinal Burke. Entre les hérétiques, les insultes sont les mêmes.
Comme toutes ces personnes sont hérétiques… Elles sont excommuniées de facto.
Surtout ces personnes s’opposent au droit des catholiques de croire ce qu’ils veulent, donc de croire Rome.
Elles sont opposées aux droits de l’homme, à la liberté de religion et de conscience. Elles veulent imposer leurs opinions, d’ailleurs souvent contraires à la raison, comme des vérités.
Vous voulez dire que le “Comité de la Jupe” est profondément fasciste par essence ? Mais quelle horreur !!!!!!!!! Comment peut-on en revenir aux pires heures de notre histoire ?
Est-ce à moi que ce discours s’adresse ?
Si oui, je vous réponds que probablement ces personnes adhèrent au relativisme qui ne reconnaît pas en l’homme une vocation transcendante et que Dieu lui-même traite avec respect (Rerum novarum).
Donc, fasciste, communiste, rousseauiste, positiviste, socialistes, partisans de la violence en matière religieuse, en un mot apparentées intellectuellement avec ceux qui nient la vérité de l’homme (quelle que soit la sous-catégorie désignée par ailleurs).
C’est personnes voient l’Eglise comme un club ou un parti politique soucieux de recruter et dont elles voudraient bien prendre les commandes. Mais l’Eglise est un mystère de foi, protégé juridiquement par la liberté religieuse, corollaire du 1er commandement. Jésus ne force personne à le suivre, mais il ne veut pas non plus l’on mette la main sur son Epouse, sainte immaculée et sans tache, il est très jaloux de la liberté de celle-là.
Jésus n’est pas facultatif, et tout être humain est attiré par Lui, mais Il veut la liberté des âmes. Il faudrait qu’elles le comprennent et prennent du recul par rapport à leurs certitudes.
La force de ces femmes c’est d’être parfaitement en phase avec tous les erreurs du monde tout en étant des femmes .Vous avez probablement remarqué qu’avant les médias s’adressaient à Christian Terras et que depuis quelques temps elles lui volent la vedette .Et ça c’est bon signe.
Le problème ce n’est pas ce qu’elle disent après tout ,l’Eglise n’a jamais été monolithique, elle a toujours été un lieu de débat, d’opinion contraire c’est d’ailleurs ainsi que la théologie progresse et que l’Eglise progresse aussi dans l’explicitation de la vérité. Le problème de ces dames c’est qu’ils vont au dé là du débat et invitent publiquement à la désobéissance du magistère s’érigeant ainsi eux même comme le magistère .Et c’est malheureusement exactement le même problème que la Fsspx . Les deux ( la FSSPX et la CCBF ou comité de la jupe ) relèvent d’une lecture subjective de la Révélation, avec cette prétention de juger soi-même du magistère n’hésitant pas à la piétiner au nom de la vérité pour les uns ou de l’Amour pour les autres .Pour moi ce sont les deux plaies de l’Eglise actuelle et je reste convaincu que ce sont des alliés qui s’ignorent .
Sur le site internet de cette inquiétante Christine Pedotti, en réponse à son texte dans lequel elle m’invitait à aller à l’école des sorciers afin de me perfectionner dans la connaissance des rites et pratiques magiques, je l’avais interpellée de cette façon : « Merci pour votre grande charité à vouloir m’envoyer chez les sorciers. Je crois que vous ne voulez pas comprendre, je n’ai rien contre la Visitatio mais c’est votre attitude que vous avez au comité de la jupe de vouloir toujours obtenir, par votre pharisianisme, les choses par la force, dans un esprit destructeur, en se fichant éperdument des règles de l’Eglise, de l’autorité du Saint-Père et des Evêques. Si vous ne voulez pas de cette Eglise catholique, partez avec votre orgueil fonder une église schismatique, une de plus, où vous déciderez de vos rites de prêtresses. Par la même occasion vous pourrez emmener avec vous toutes les mamies-bigoudis qui envahissent les sanctuaires et profanent les Autels par leurs inventions débordantes et irrespectueuses.”
Elle n’a pas du apprécier puisqu’elle ne l’a pas diffusé dans les commentaires du forum. Je lui ai donc demandé qu’elle respecte mon droit de réponse. Suite à cela elle m’a envoyé ce courriel qui en dit long sur l’état d’esprit de cette dame :
“Mais quel est ce soudain prurit démocratique? Je ne suis tenue à rien car voyez-vous, sur ce site, je suis chez moi, et je fais ce que bon me semble. En d’autre termes, sur ce site, le magistère, c’est moi! Sinon, pour vous le dire d’une façon plus féminine, genre “bonneménagère”: que ceux qui s’oublient sur mon paillasson ne comptent pas que je leur ouvre afin qu’ils viennent se torcher avec les rideaux de mon salon.”
Vous conviendrez que cette réponse n’est vraiment pas catholique !
Les tradis devraient “squatter” la carte googlemap du comité de la jupe pour indiquer là où la liturgie est célébrée dignement, où est enployée la forme extraordinaire du rite romain, où des abbayes de femmes rayonnent par leurs piété… etc…
Christinne, c’est ma sorcière bien aimée, na ! http://www.educol.net/photo-sorciere-i5214.html
Golias, Gaillot… tiens, on ne le voit plus non plus, la jupe, même combat… contre l’Eglise catholique… quelle violence,on est écoeuré.
Le plus terrible c’est que ces “dames” sont omniprésentes auprès de nos prêtres et qu’ils les craignent….
je suis pour egalité femme homme
je suis pour egalité femme homme et tout le reste cest du blabla