Cette année encore, il y aura un chapitre du Pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté, à la Pentecôte, qui réunira des personnes venant de l’islam. L’année dernière, pour la première fois, ce chapitre, placé sous la bannière de saint Cyprien de Carthage, avait marché de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres. Ce fut une véritable réussite et un splendide témoignage pour les pèlerins venus de toute la France, de plusieurs autres pays d’Europe et même de pays hors d’Europe, de voir ces marcheurs, reflets vivants de l’amour de Dieu et de la conversion.
Pour les responsables du chapitre Saint Cyprien de Carthage, ce chapitre ne peut exister que s’il existe une véritable entraide chrétienne et notamment si « nos frères et sœurs aînés dans la foi sont là pour nous aider. » Le Pèlerinage aura lieu cette année les 26, 27, et 28 Mai 2012. Le mieux est de prendre contact avec Notre-Dame de Chrétienté pour voir comment aider ce chapitre.
J’ai participé en tant que “frère aîné dans la Foi”, ça a revigoré ma Foi de chrétien français et m’a permis de me former pour mieux évangéliser les musulmans que je croise lors de mes “missions” de diffusion de l’1VISIBLE ou d’invitation aux manifestations de ma paroisse sur Fontenay. venez au pélé de Chartres (c’est péchu et fatiguant) mais vous serez un nouvel homme. De surcroît, si vous faites le pélé avec ce chapitre Saint Augustin, vous recevrez beaucoup et témoignerez de votre soutien à ces nouveaux frères courageux. HAUTS LES COEURS !
Mon Pays l’Afrique du Nord, et particulièrement la TUNISIE (Carthage) a donné à la CHRETIENTE plusieur Pères de l’Eglise j’en suis très fière et émue chaque fois qu’il m’est donné d’approfondir mes connaissances dans ce domaine, quel malheur que l’islamisme nous prive des ces promenades souvenirs tellement intances, qui vous remue les trippes…Dieu faites quelque chose avec notre aide biensur ce n’est pas le monde politique actuel qui va nous y aider tant il se couche devant ce qui n’est absolument pas une religion de paix, d’amour et de tolérence peu s’en faut hélas