Episcopats locaux

Belgique: l’évêque d’Anvers soutient Castellucci

Commentaires (8)
  1. poulain salvat françoise dit :

    c’est d’une tristesse!!!

  2. Bruno dit :

    C’est exactement parce qu’il y a encore cette catégorie d’évêques sans convictions que l’Église est aujourd’hui ce qu’elle est. Il faut prier pour que l’on puisse recevoir des vraies bergers, des hommes de foi et que l’on puisse au plus vite oublier ce ravage de ’68 et ensemble re-construire un nouvel avenir pour l’Eglise.

  3. ghislain lahaye dit :

    Il m’est revenu, de source non suspecte, que lors d’une récente consécration, bénédiction, ordination (au choix) de diacres féminins, Mgr Boni aurait utilisé les mêmes paroles sacramentelles que pour une ordination presbytérale…De la à dire qu’il a ordonné des femmes prêtres, il n’y a qu’un pas.

  4. Yves dit :

    La notion de “diacres féminins” n’existant pas dans l’Eglise, la probabilité pour que Mgr Boni ait pu en consacrer me semble faible, et la probabilité que ce faisant, par erreur, négligence ou intention mauvaise, il en ait fait des prêtres, est nulle…

  5. Abbé Herman dit :

    Diacres féminins? Cela n’existe pas, Ghislain. Un évêque qui procéderait à ce genre “d’ordination” serait excommunié latae sentiae.

  6. Pierre de Vacuqerie dit :

    Mgr Bonny devrait relire les coutageuses prises de position de ses confrères dans l’épiscopat, Mgr Aillet, de Bayonne, et surtout Mgr Brincard, évêque du Puy, qui livre une excellente analyse du phénomène Castelucci.

    Pour embrayer dans le débat Pauvre Job-Mizuki, un ami français me disait un jour : en France, il y des FM en politique, mais en Belgique, toute la politique est FM. Et nos évêques sont tributaires de ces gens-là, qui les tiennent sous la coupe de leur administration et de leurs deniers. La Concordat, autrefois une chance pour l’Eglise, est devenu aujourd’hui un joug oppresseur et, surtout, une muselière pour les fidèles du Christ.

    L’Eglise de Belgique est bien malade, non pas seulement de tous les scandales que l’on veut lui faire assumer, mais elle est malade de manque de foi et de courage. Et ceux qui devarient lui montrer l’exemple, et je ne fais ici aucune exception dans l’épiscopat, lui donnent seulement le spectacle de la passivité et de la compromission.

    Un jours, quand j’étais encore aux études, quelqu’un demanda au professeur ce qu’était ce péché contre l’esprit qui, dit Jésus, ne sera jamais pardonné. Le professeur a répondu : “C’est appeler le bien “mal” et le mal “bien”.

    Merci, Monseigneur Bonny, courargeux successeur des Apôtres…. Le sang des martyrs est semence de chrétiens. La pleutrerie des évêques est porteuse de mort.

    On pensait à la réanimation et plus personne n’y croit. Nos évêques n’appliquent que les soins palliatif, et l’attitude de certains fait déjà croire que l’on va vers l’euthanasie. Jam fetet Ecclesia belgica.

  7. Laurence Dumoulin dit :

    Si, si, le diaconat féminin existe bel et bien. Il y a eu des diaconesses dans les premiers siècles de l’Eglise et c’est même connu comme le loup blanc, puisque leur existence, historiquement indiscutable, est manipulée pour ouvrir la voie au “sacerdoce des femmes”. Seul petit détail oublié au passage, c’est que les diaconesses étaient instituées, non ordonnées.
    http://www.ceremoniaire.net/depuis1969/docs/servantes_2003.html
    En d’autres mots, le diaconat féminin n’était pas un diaconat à proprement parler, il ne ressortissait pas au sacrement de l’ordre.