Au détour d’un article de Présent écrit par Jeanne Smits, au sujet des propositions formulées par la direction nationale de l’enseignement diocésain, voici ce que je lis :
Il y avait de grands absents à la conférence de presse de mardi : Dieu et ses saints. La réunion se tenait en la « salle Thomas d’Aquin » (non loin de la « salle Dolto » et de la « salle Piaget ») ; pas de crucifix, pas de signes ostentatoires… Faut-il être 100 % laïque pour discuter avec des candidats à la présidence de la République ? On semble le croire, rue Saint-Jacques, dans les beaux bâtiments de l’Enseignement catholique qui jouxtent l’église du Val-de-Grâce. Si l’introduction du Manifeste parle du nécessaire « dialogue entre foi et raison » qui au sein de l’école catholique veut ouvrir « à l’accueil de Dieu en chaque homme », le discours d’Eric de Labarre, lui, était purement technique.
Eric de Labarre, qui a donné un fils à l’Eglise (un prêtre à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre) affiche chez lui… la Déclaration de 1789…