Parmi les crises, la perte du triple A, les perspectives politiques qui s’annoncent, les révoltes civiles et l’indignation généralisée, des sources lumineuses s’allument. Lorsqu’on est « dans le noir », il faut « allumer une lumière », rappelle le Cardinal Comastri. Cette lumière s’allume, plutôt deux fois qu’une, et correspond exactement à la riposte qu’il faut adopter face aux pulsions destructrices de la civilisation. Voilà la (les) bonnes nouvelles, et elles concernent la VIE. Deux événements pro-vie marquent cette semaine.
D’une part la marche pour la vie, qui aura lieu dimanche 22 janvier, à laquelle sont conviés les Évêques de France, les hommes et femmes politiques (seule Christine Boutin y a confirmé sa présence), et qui hérite du soutien du Pape. Nous y seront évidemment. J’encourage les lecteurs à nous y rejoindre (et à nous y rencontrer).
D’autre part la création récente d’une mutuelle pro-vie (Fidelis-Santé), qui respecte la doctrine de l’Eglise, notamment en ne remboursant ni les contraceptifs, ni l’avortement, et en s’associant à de nombreuses associations caritatives, comme les Orphelins apprentis d’Auteuil ou la Fondation pour l’Ecole.
* La basse et incompréhensible polémique d’un élu socialiste qui a suivit cette belle initiative, alors même que les mutuelles gays ne posent aucun problème, laisse présager de ce qui nous attend si le PS prend le pouvoir : une christianophobie étatisée, et une intolérance strictement orientée. Comment ne pas être désorienté face à cette ingérence éthique ?
© Vivien Hoch, pour Itinerarium