Le couple homosexuel qui avait annoncé ses « fiançailles » au Malawi éclate…
Après une pseudo cérémonie de « mariage » Steven Monjeza et Tiwonge Chimbalange avaient été arrêtés par la police de leur pays, puis condamnés le 20 mai dernier à 14 ans de prison en vertu des lois anti-homosexuelles du Malawi pour « actes indécents ». Sous la pression internationale – de Madonna notamment – ils devaient rapidement être grâciés.
Mais pour Tiwonge, les histoires d’amour se sont arrêtées là. Steven l’a quitté pour une femme de 24 ans, en affirmant qu’il avait été contraint de participer à cette relation homosexuelle. Et maintenant il aime la jeune Dorothy…
Tout ça, pour ça ?
Selon AfrikNews, il y a une autre explication. « Le couple homosexuel gracié par le président du Malawi de leur peine de 14 ans de prison s’est séparé six mois après son mariage, apprend-on sur Mail Guardian. “Je ne suis plus amoureux de Tiwonge Chimbalanga. J’aime une femme, Dorothy Gulo”, a déclaré Steven Monjeza. Chimbalanga estime que Monjeza a cédé à “la pression de son oncle” et de ses proches, qui l’incitaient à se marier à une femme. »
C'est évident, qui pourrait imaginer que quand vous venez d'être publiquement insulté et que vous avez manqué de justesse 14 ans de prison, vous puissiez subir une quelconque pression? Les marionnettes de Madona! Je pense qu'il est extrêmement prétentieux, même pour un croyant de distribuer du “naturel”à tout va.
Vous mettez persécuté entre griffes. Qu'est-ce qu'il vous faut? On vous entend ici crier à la “cathophobie” à longueur de journée, mais quelqu'un qui a échappé à 14 ANS (ça fait 168 mois, et je vous épargne le calcul en jours) de prison, peine à laquelle il a été condamné pour le crime HORRIBLE d'aimer quelqu'un du même sexe, c'est faire du politiquement correct que d'appeler ça de la persécution? Et après vous allez dire que c'est le péché et non la personne que vous détestez? Quel genre de chrétienne êtes vous pour avoir si peu de compassion???
OK, je change le titre pour lever l'éventuelle offense.
Je souligne toutefois que ledit couple savait ce qu'il encourait, non pas tant, dans son cas, pour des actes privés, mais pour la publicité qu'il a donnée à sa relation et la provocation que constitue au Malawi le faux mariage qui voulait l'institutionnaliser.