Oh, pas totalement. La sex-symbol des années 1970 s’est exprimée, crûment, sur CNN dans une tribune étonnante – citée ici par LifeSite où elle est vraiment très loin d’épouser les soi-disant valeurs du jour.
En fait d’épousailles elle y évoque plutôt celles avec son premier mari, Jim Welch, et sa première grossesse, survenue à 19 ans. La jeune actrice pense à sa carrière, le non moins jeune papa à son enfant et il saura trouver les mots et l’amour pour aider sa femme à le « garder ».
« J’ai toujours aimé Jim pour la manière dont il a réagi à ce moment-là. Pendant ma grossesse, j’en suis venue à comprendre que ce processus ne me concernait pas d’abord moi. Je n’étais que la spectatrice de la métamorphose qui se produisait dans mon sein afin qu’une nouvelle vie puisse naître. Au bout du compte, c’était un acte de sacrifice de soi, spécialement pour moi en tant que femme. Mais nous étions pleinement concernés tous les deux, pas seulement pour ce moment-là mais pour le restant de nos jours. Et cela fait peur. Vous pouvez croire pouvoir contourner le problème et éviter la décision, mais je n’ai jamais rencontré quiconque qui ait su le faire. Jim et moi avons eu deux beaux magnifiques enfants qui n’ont jamais cessé d’être une bénédiction pour nous. »
Sans dénoncer absolument la contraception Raquel Welch ose quelques propos iconoclastes sur la pilule, dont l’effet aura été dès les années 1960 sur les femmes : « Maintenant nous pouvons faire l’amour n’importe quand, sans les conséquences. Alléluia, faisons la fête! »
« Aujourd’hui, personne ne semble savoir “garder ses affaires dans son pantalon” ou rester fidèle à un engagement », assure Raquel Welch : elle avoue avoir « honte » de ses quatre mariages et confie que pour elle le mariage est « la pierre angulaire de la civilisation, une institution essentielle qui stabilise la société, offre un sanctuaire aux enfants et nous préserve de l’anarchie ».
Et de déplorer, plus loin, l’incroyable licence sexuelle des jeunes, la pratique du concubinage, la disparition de la confiance et de la fidélité, et du discernement quand il s’agit de choisir un partenaire pour la vie.
Conclusion :
« Sérieusement, braves gens, si un “sex symbol” vieillissant comme moi commence à agiter le drapeau rouge d’alerte quant au niveau où les normes morales sont en train de s’effondrer, vous devez comprendre que les choses vont vraiment assez mal. En fait, c’est précisément à cause de l’image sexy qui fut la mienne qu’il est important que je me lève et que je proclame : Allez-y, les filles ! Il est temps de se mettre au travail ! Nous sommes capables de tellement mieux. »
ele a 1000 fois raison, et justement, c'est parce que je connais le milieu gay, mieux que quiconque ici que je dis Stop !
Honnêtement, je n'aurais jamais cru que les Gays auraient été (avec qui l'on sait en sous-mains) le fer de lance de l'anti-chrétienté !