Christina Lopez Schlichting anime une émission-débat l’après-midi sur l’antenne de la télévision catholique espagnole COPE ; journaliste très populaire en Espagne et connue pour son franc-parler, elle écrit aussi, tenant notamment une chronique politiquement incorrecte dans La Razon. Où elle publia, au lendemain du résultat du référendum portugais, qu’on aurait pu en poser la question en ces termes en 1940 :
« Etes-vous partisan de la dépénalisation de l’interruption de la vie d’un juif si elle est réalisée par choix de la race supérieure, pour le bien commun, avec une sédation au Zyklon B et dans un centre de santé légalement autorisé ? »
Elle ajoutait que la légalisation de l’avortement s’accompagne immanquablement de l’augmentation du nombre des avortements, et qu’en l’occurrence « l’idéologie l’a amporté sur la réalité », notamment par le biais d’une question posée de manière à véhiculer des concepts positifs. « C’est comme si on avait soumis l’Holocauste à référendum », concluait-elle.
Elle a l’habitude de dire que le « politiquement correct », c’est la dictature du relativisme…
Source : ici.