Mary Ann Glendon est une grande dame dont la courageuse et salubre décision est saluée par d’innombrables personnalités catholiques américaines depuis hier. Mais le P. John Jenkins
lui est un foutriquet. Voici la déclaration qu’il a osé faire hier après l’annonce du refus de l’ambassadeur Glendon de recevoir la Lætare Medal de Notre Dame :
« Nous sommes, évidemment, déçus que le professeur Glendon ait pris cette décision. Il est dans notre intention d’accorder la Lætare Medal à un autre récipiendaire méritant, et nous en ferons
l’annonce sitôt que possible ».
On se demande bien quel « autre récipiendaire méritant » aura le front d’accepter cette récompense dans de telles conditions. Les leçons de maintien ne servant décidément à rien pour le
P. Jenkins et les punitions corporelles ayant été abolies, son départ de Notre Dame s’impose avec la plus extrême urgence vers un établissement hospitalier spécialisé en
psychiatrie.
En fait de psychiatrie, un séjour prolongé dans un monastère serait à mon sens autrement plus salutaire…
L’idée de l’envoyer dans un monastère peut parraître séduisante mais dans la Règle de Saint Benoît on se refuse de considérer l’entrée du genre des Sarabaïtes. car ils n’ont pas été éprouvés sous une règle comme l’or dans la fournaise, ni formés par l’expérience, mais sont plutôt amolis comme du plomb. Dans leurs actes, ils restent fidèles au monde, et, mentent publiquement à Dieu….Tout ce qu’ils pensent ou préfèrent, ils le disent saint, et ce qui ne leur plaît pas, ils l’estiment défendu. Et il y a les Gyrovagues… toujours errants,…esclaves de leurs volontés propres et de la gueule.
Il nous reste à prier pour qu’il retrouve le chemin de l’obéissance envers l’évêque du diocèse et qu’il se rappelle ces mots de la Vierge à Cana : Faites tout ce qu’il vous ordonnera de faire.