Voici une déclaration martiale! Mgr Mario Monti, archevêque de Glasgow en Ecosse, vient de déclarer publiquement:
“Les fidèles doivent suivre l’Instruction générale du Missel romain, à savoir accéder à la communion en procession et debout pour recevoir la Sainte Communion.”
On s’attend, naturellement, à des prohibitions ratzinguériennes sur la façon de recevoir ladite Sainte Communion. Eh bien non!
“La stature debout, dans notre culture occidentale, est une marque de respect: à genoux à la table de communion (où elles continuent d’exister) n’est pas la pratique envisagée par les instructions contenues dans le Missel.”
Ben voyons!
Et, d’ailleurs, le Pape Benoît XVI – qui recommande la forme de communion traditionnelle – n’est, c’est bien connu, pas de culture occidentale. A moins que Mgr de Glasgow ne pense qu’à Rome, on se moque, comme de l’an 40, des saintes Espèces…
Quand les évêques seront en phase avec le pontife romain, la question de l’autorité dans l’Eglise, question déterminante pour sortir de la crise, aura fait de solides progrès!
l’évêque a mal lu…
La PGMR stipule seulement “160. Le prêtre prend alors la patène ou le ciboire, et s´approche des communiants qui ordinairement s’avancent en procession.”
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20030317_ordinamento-messale_fr.html#Rites_de_communion
Merci d’aller sur ce site
http://www.sainteucharistie.com
Recevoir la communion à genoux et sur la langue est vraiment la bonne façon de faire
La stature debout est une marque de respect…mais la position à genoux en est une, plus grande encore.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, les nouveaux pilotes soviétiques recevaient leur “diplôme d’habilitation au combat”, un genoux en terre. Pour le Christ on peut bien y mettre les deux!
Quand, certains comprendront-ils qu’une foi mature (et non pas “adulte”, ce qui ne signifie rien dans une société où l’on réserve certaines dépravations aux “adultes”) ne peut être atteinte que par la voie de “l’Esprit d’enfance”, qui est un sommet (d’humilité) où l’on vénère comme l’on respire.
Il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.
C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.
(Phil 2, 8-11)
et un malade dans un hopital, sur son lit, qui veut communier?
“A l’autel de rails”… Qu’est-ce que c’est que ce charabia? C’est certainement “altar rails”, ce qui se traduit par bancs de communion. M. Ganimara, votre italianité excuse bien de choses mais quand une phrase n’a manifestement aucun sens ne vaudrait-il pas la peine de vérifier les traductions francaises que vous reprenez de sources extérieures?