Cyrille Brun, directeur de l’observatoire socio-politique du diocèse de Toulon, note ceci:
“Le problème de l’immigration devient ainsi le révélateur des limites de l’idéologie de la pensée unique, parce que la question de l’immigration pose le problème de l’identité. Or l’identité est précisément la bête à abattre des idéologies modernes du gender au consumérisme, du New-Age à la Franc-maçonnerie. Il est de fait bien difficile d’accueillir l’autre quand on n’est plus capable de savoir qui l’on est.”
(Via le Salon beige)