Le cardinal Ortega, archevêque de La Havane, s’est opposé avec courage à l’égalitarisme forcené qui règne trop souvent dans le débat public (spécialement, dans son pays, Cuba, toujours sous la botte communiste):
“S’opposer au riche seulement parce qu’il est riche – alors qu’il n’est pas si riche que cela, qu’on ignore comment il l’est devenu ou ce qu’il fait de cette richesse – peut provenir d’une conviction idéologique erronée ou tout simplement de la jalousie, entre autres raisons. […]
Le plus petit écart du modèle économique général représente pour certains un péché social terrible, un vice répugnant qui mérite punition ou, au moins, la mise en doute de l’honnêteté de la personne concernée. […]
[Pourtant] le mal n’est pas dans la richesse ou dans la pauvreté mais dans la façon de vivre ces réalités […] si l’on peut douter de l’origine de beaucoup de richesses, il ne convient pas de douter de la bonne origine de tant d’autres et du bon usage qu’en font leurs propriétaires.”
Voici encore un évêque qui aurait mieux fait de se taire et de lire les Evangiles !
Allez, Monseigneur, soyons fous : devenez chrétien !
rien que du bon sens…bon sens qui se perd au nom d’idéologies !
L’égalité n’éxiste pas. La raison est que l’égalité d’escence naturel.Il faut accepter les différences de classes meme la politique communiste n’est pas égalitaire, il y a la classe dirrigeante et le peuple oppresser par ce type de régime athé.
L’égalité n’est pas d’escence naturel.
Je ne vois rien à redire aux propos de cet évèque.
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Moi aussi ça me débecte quand je vois des voitures luxueuses dans mon quartier. Surtout que dans mon quartier ce sont surtout celles des dealers.
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En règle générale, je n’aime pas l’exposition tapageuse qui est une provocation envers ceux qui ont du mal a joindre les deux bouts.
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Mais bon il y a des gens qui ont réussi. Et sans doute pour certains sans tuer ou assassiner leur voisin. Alors moi aussi de temps en temps je me retiens de maudir les conducteur de ces voitures que finalement je ne connais pas.
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Oui, c’est un déni de l’Evangile. Mais pas parce que cela blesserait la “justice sociale”. Il y a une essence de la richesse comme de la pauvreté. La première est expressément maudite, mais pas pour faire disparaître la seconde. “Il y aura toujours des pauvres parmi vous”. On peut dire, avec Léon Bloy, que c’est un malheur d’être riche et “dans le monde”. Et qu’on ne doit justement le souhaiter à personne. C’est là que les cathos “progressistes” qui se laissent tirer par les oreilles (St Paul rappelé par Maritain) s’abusent complètement.
Franchement, que ce soit chez les progressistes ou chez le tradis, on se demande où est passé le surnaturel du christianisme. Je ne vois que ressentiments mesquins et réclamations de guichet… Tristesse
Plume