Complice ou complaisante, marquant à peine un changement de ton par rapport à la presse « gay », des journaux comme Match, Le Parisien, Libération ou France Soir ont annoncé avec des trémolos l’heureuse nouvelle de la récente « paternité » d’Elton John.
Le chanteur britannique avait célébré son « mariage » homosexuel avec son compagnon actuel, David Furnish, il y a quinze ans au Royaume-Uni lorsque la procédure devint légale.
Après l’échec d’une tentative d’adoption en Ukraine, où Elton John avait voulu l’an dernier embarquer un petit garçon de 14 mois – l’Ukraine reconnaît les mères porteuses mais pas le mariage homosexuel – le « couple » a eu recours à une mère porteuse en Californie.
Qui est la vraie mère, le vrai père, le vrai bébé ? Il n’en sera rien dit.
Mais selon les journaux, on apprend qu’Elton et son compagnon ont adopté un enfant, qu’Elton est devenu père, voire que les deux hommes sont aujourd’hui « papas » du petit Zachary arrivé dans leur foyer pour Noël.
Autant de complaisances à l’égard de l’idéologie non point dominante dans l’opinion, mais conquérante dans les médias. Et vous la lisez encore, cette presse-là ?
oui, tout ce cirque m'effraie.
Vous, semble-t-il, lisez ces journaux.
Mais mal, semble-t-il aussi. Elton John s'est marié il y a cinq ans seulement, avant il ne le pouvait pas.
Enfin, du bébé, du père ou de la mère. Seuls ceux qui donnent de l'amour comptent.
Dégueulasse ! Abominable !