Je rends grâce à Dieu de m’avoir fait “fouineur” de la cathosphère américaine car j’y découvre, presque chaque jour, bien des informations d’intérêt que je m’efforce de porter à votre connaissance. Hier matin, le “hasard” des liens m’a mené sur le blogue Coming Home du Dr. Gerard M. Nadal, le blogue catholique et pro-vie d’un médecin spécialiste en biologie moléculaire et microbiologie, né en 1960. Mais la lecture d’un post de son blogue m’a mené à une autre découverte qui m’a bouleversé.
Connaissez-vous John Michael Talbot ? Honte à moi, je ne le connaissais pas et c’est pourtant, sans doute, le plus célèbre des chanteurs compositeurs interprètes catholiques aux États-Unis.
Né en 1954 à Oklahoma City (Oklahoma) dans une famille méthodiste, le goût de la musique le jeta dès ses quinze ans sur les routes. Mais cette errance musicale s’accompagna aussi d’un cheminement spirituel à la recherche de Dieu qui le conduira à l’Église catholique en 1978 et à créer une congrégation monastique mixte, les Brothers and Sisters of Charity (Berryville, Arkansas) dont il est canoniquement « le ministre général et le père spirituel » bien qu’il soit marié. John Michael Talbot a publié près de 20 livres et enregistré plus de 50 albums depuis Reborn (1972) jusqu’à Worship and Bow Down (2011).
Je vous invite à découvrir cette musique remarquable et la voix magnifique du chanteur dans les deux vidéos de deux chansons qui suivent. La première Holy is His Name (Saint est Son nom) est une adaptation du Magnificat, interprétée lors d’un concert public. La seconde Come Holy Spirit (Venite Sancte Spiritus) est une adaptation de la séquence de la Pentecôte. Des musiques pour méditer et prier.
Merci Daniel !
Les fidèles de la FSPX ne l’aiment pas ?
Non parce qu’il était méthodiste, mais il est canoniquement « le ministre général et le père spirituel » de sa propre congrégation monastique mixte, “les Brothers and Sisters of Charity (Berryville, Arkansas)” bien qu’il soit marié ?
Merveilleux: merci mille fois de nous faire connaitre ce chanteur, cher Daniel Hamiche. Savez-vous si on trouve ses enregistrements en France?
Merci pour cette page.