Sandro Magister sur Chiesa décortique le Semaine Sainte 2011 du pape Benoît XVI et remarque ceci :
Benoît XVI a cité le “Dies irae”, ce chant qui a été subitement effacé de la liturgie parce qu’il était considéré comme imprégné de terreur, alors qu’il porte les traits d’une tendresse touchante, comme lorsqu’il dit :
Quaerens me, sedisti lassus,
redemisti Crucem passus:
tantus labor non sit cassus.
Et si on rétablissait le Dies Iræ ?
Chant Grégorien – Dies Irae