Sans le nommer…
Daté du 24 mars, on trouve sur le site de Golias le texte suivant qui a nécessité trois copies d’écran :
Rien n’indique qu’il s’agit d’un texte repris sur SPO. Il est simplement signé Romano Libero. On troue ce texte en date du 8 mars dernier sur SPO (voir ICI). J’y parle d’un ami bien introduit à Rome qui est l’auteur de ce texte. Je précise que cet ami n’est aucunement Romano Libero.
Le plus cocasse a en effet été de trouver cette analyse clairement orientée forme extroardinaire sous la plume d’un “journaliste” de Golias!
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Golias plagie (voire “copille” carrément) des articles de la blogosphère tradi. C’est à noter: ça signifie que Golias n’est pas à la hauteur de sa réputation surfaite et quasi mythique d’être bien tuyauté.
Récemment j’ai fait part de certains commentaires sur ce site, concernant une attaque (de +) contre un certain Abbé, dans un Diocèse normand, à qui l’Evêque du lieu avait ordonné “la mutation” géographique, privant les Paroissiens de la Sainte Messe.
Mon commentaire visait à faire part au lecteur du bien fondé de l’attachement à la Sainte Messe (+ exactement au Sacrificium Eucharisticum), pour la profonde louange ainsi rendu à Notre Seigneur Jésus Christ, en concluant ” Si c’est cela être tradi, et bien j’en suis fier”.
La réponse par Golias- modérateur fut alors directe et cinglante , je vous la livre ici directement : “Le fait que nous validions vos différents …/… (il n’y en a eut qu’un) …/… messages est bien la preuve que nous n’avons que “Haine” à l’égard de vos semblables “tradi & consorts” . (www.golias.fr/article4803.html) 34° commentaires à ce jour. Vous pourrez lire la réponse qui m’est venue au bout du doigt immédiatement.
En tout cas voici le décor malheureusement bien planté, ces gens semblent être dans la plus grande confusion et mélange tout, portant polémique et ne servant point l’unité. J’aime à rapprocher les écrits d’un pieux moine et père abbé, dont l’écriture me semble ici bien appropriée, et que cela n’entraine pour moi ni condamnation, ni jugement mais puisse servir à la réunification :
Et pour le moins permettez moi de citer Dom Gérard ;
“Certes l’Epouse du Christ n’est ni malade ni mourante …/… cependant le matériel humain qui la compose et les traverses qu’elle rencontre sur sa route lui donnent parfois un aspect pitoyable. Quelque chose qui fait honte et que l’on n’ose pas dire. C’est alors qu’il faudrait se pencher sur le système de l’Epouse non pas avec la curiosité du sceptique mais à la manière des anges dont parle St Pierre (I Pet. 1,12) avec un regard de soif admirative mêlée d’un infini respect, comme seule peut le faire naître en nous, avant même d’entrer dans la vision béatifique, l’image très pure que nous renvoie le miroir de la liturgie”.
Et nous ne devons pas oublier que “nous appartenons à l’Eglise du ciel, signifiée ici-bas par les ombres et les signes de la cité terrestre. Nous n’appartenons pas à une assemblée pécheresse et minable, mais à un peuple saint, Plebs sancta, à une Patrie céleste, à une Eglise triomphante, mais nous nous tenons debout en esprit autour du trône de l’Agneau, stantes ante thronumn, non plus hôtes et voyageurs, mais citoyens des saints et hommes de la maison de Dieu (Eph. 2, 19), au milieu des myriades d’anges qui sont la cour du grand Roi (Hébr. 12 ,22).
Templum habitationis gloriae tuae”.
Et nous savons aussi que la démocratisation de nos sociétés a laminé les représentations terrestres qui tendaient par analogie à exprimer la magnificence et le faste des grandeurs sacrées, uniformisées dans une grisaille, signe implacable du nivellement séculier.
Puisse nos prières aider les membres de golias retrouver la lumière en travaillant à la construction et non à la division. C’est bien dommage de constater aussi facilement la pauvreté de l’intellect humain.
In Christo Per Mariam.
Ps: Attention lors de mes brefs passages sur ce site et après l’ouverture des commentaires (réponse) mon ordinateur à été fortement infesté par un virus assez puissant pour désorganiser toute ma machine (pourtant mac), ceci concomitamment.