À son tour Messainlatino répond aux propos du vaticaniste Paolo Rodari et confirme les propos déjà publiés, notamment en ce qui concerne la responsabilité de Mgr Scicluna et du cardinal Canizarès. Pour Messainlatino comme pour moi, bien qu’à des degrés divers, cette responsabilité est évidente et a été confirmée. Rodari essaye d’allumer un contre-feux pour laisser entendre que les traditionalistes sont une fois encore la proie de leur peur du complot. Mais il ne s’agit pas de cela. En l’occurrence, il s’agit de permettre à la vie liturgique dans les diocèses de retrouver sa dignité et de s’appuyer sur la forme extraordinaire comme moyen de revitalisation.
Que ce monsieur RODARI soit rassuré.
Il ne s’agit en aucun cas d’être la proie d’une peur du complot, mais conscients de la permanence des constats faits sur le terrain et dans les salons bien-comme-il- faut, qu’un immense frein a joué depuis la promulgation du Motu Proprio Summorum Pontificum, en France et au Vatican.
Iota Unum décrit les mécanismes de la prépartion détournée de Vatican II.
Rien de raisonnable ne permettrait d’exclure que des malfaisants s’en prennent aujourd’hui au décret et au Pape par des arguments controuvés.
Peur, non. Confiance malgré les loups et prières de soutien au Saint Père.