C’est le titre d’un article paru dans le quotidien régional Sud-Ouest et disponible sur son site ICI.
Cet article apporte une nouvelle information concernant la méthode de l’émission Les Infiltrés. Les « journalistes » ne se contentent pas
seulement d’enregistrer des propos, mais les suscitent dans un sens bien particulier.
Contacté au titre de son rôle de président de l’école Saint-Projet, Maître Thomas Rivière avait reçu deux journalistes free-lance disant enquêter
« sur les écoles atypiques qu’ils vendraient par la suite, mais ne savaient pas encore à qui. » L’entretien se déroula visiblement correctement jusqu’au moment où
« devant des questions suggérant que nous devions avoir de l’Histoire une vision révisionniste que, sans doute, nous faisions enseigner, j’ai fini par me fâcher. »
Du coup, Maître Rivière a refusé de participer au débat qui suit la diffusion du « reportage » des Infiltrés. « Ce qui, note
Sud-Ouest, n’empêchera pas Me Thomas Rivière de figurer contre son gré dans l’émission “Les Infiltrés”, mardi 27 avril, sur France 2 » puisque « L’incursion dans le
bureau de Me Rivière se retrouve donc dans l’enquête des “Infiltrés”, intitulée “À la droite du Père”, programmée mardi prochain. »
C’est exactement la même méthode qu’a utilisée l’infiltré à la paroisse Saint-Éloi et à l’école Saint-Projet. Susciter les propos dans un sens bien particulier,
destinés non à informer mais à créer le scandale, en pratiquant l’amalgame et la condamnation.