Hier, je demandais qui a écrit :
« Quand avez-vous lu pour la dernière fois un portrait honnête de feu l’archevêque Marcel Lefebvre (1905-1991) dans la presse “de qualité” ? Quand y
avez-vous jamais lu une analyse objective de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X que Lefebvre a fondé pour résister à la vague de fond moderniste qui est sortie du Concile ? »
Et encore :
« Pour comprendre son programme comme pape [Benoît XVI] (pour autant que nous puissions parler d’une pareille chose), nous devons comprendre qu’il a entrepris
de barrer son énorme navire ecclésial vers un chenal centriste après une bonne quarantaine d’années d’une désastreuse embardée à gauche. Considérez simplement la pitoyable réforme liturgique
sortie du Novus Ordo de Pau VI en 1968 poussant Hermann Sasse à remarquer dans ses dernières années que Rome avait subitement “canonisé saint Zwingli.” »
Il s’agit du théologien… luthérien américain John Stephenson, et c’est extrait de son long article « The dictatorship of relativism strikes back—and goes
nuclear » que l’on trouve sur le site « Logia. A Journal of Lutheran Theology »