« Plus de 200 personnes ont assisté au colloque organisé par l’association REUNICATHO à Versailles, sur le thème de la forme extraordinaire du rite romain : une chance pour l’Eglise ! 2 ans après l’entrée en vigueur du Motu Proprio Summorum
Pontificum.
Encouragés par Mgr Barbarin, les organisateurs ont dressé le bilan et les perspectives d’application de la forme extraordinaire du rite romain en interrogeant
différents acteurs, à commencer par l’ensemble des instituts Ecclesia Dei (tous étaient présents), des prêtres diocésains (les abbés Chanut, Spriet…), des journalistes (François Foucart,
Philippe Oswald…), universitaires (Luc Perrin…), des associations (Renaissance Catholique, Una Voce…) et des fidèles de différents lieux (Chartres, Chatou, Senlis…), qui ont témoigné de
leur expérience et des difficultés rencontrées. A ce sujet, la fédération St Gélase a été présentée, ayant pour but de mettre en
relation les demandeurs, afin qu’ils partagent leur epxérience, leur échec ou réussite.
différents acteurs, à commencer par l’ensemble des instituts Ecclesia Dei (tous étaient présents), des prêtres diocésains (les abbés Chanut, Spriet…), des journalistes (François Foucart,
Philippe Oswald…), universitaires (Luc Perrin…), des associations (Renaissance Catholique, Una Voce…) et des fidèles de différents lieux (Chartres, Chatou, Senlis…), qui ont témoigné de
leur expérience et des difficultés rencontrées. A ce sujet, la fédération St Gélase a été présentée, ayant pour but de mettre en
relation les demandeurs, afin qu’ils partagent leur epxérience, leur échec ou réussite.
Concrètement, depuis le Motu Proprio, la France est passée de 121 lieux de messes dominicales selon la forme extraordinaire à 190 (pas toujours
hebdomadaires). Seuls 6 diocèses n’ont encore aucune messe autorisée. 350 groupes de demandeurs attendent une réponse de leur curé. Le constat unanime des participants est que, malgré les
difficultés, le Motu Proprio permet de faire tomber le “mur liturgique” entre les catholiques et, désormais, ceux que l’on appelle les traditionalistes ne sont plus retranchés dans leur chapelle,
mais peuvent collaborer, avec et grâce à leurs richesses, avec les autorités de l’Eglise, à la nouvelle évangélisation. »
hebdomadaires). Seuls 6 diocèses n’ont encore aucune messe autorisée. 350 groupes de demandeurs attendent une réponse de leur curé. Le constat unanime des participants est que, malgré les
difficultés, le Motu Proprio permet de faire tomber le “mur liturgique” entre les catholiques et, désormais, ceux que l’on appelle les traditionalistes ne sont plus retranchés dans leur chapelle,
mais peuvent collaborer, avec et grâce à leurs richesses, avec les autorités de l’Eglise, à la nouvelle évangélisation. »
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