On dira ce que l’on veut, même si l’habit de ne fait pas le moine – et Dieu sait que l’abbé de Tanoüarn n’en est pas un – la soutane peut être un bon moyen d’apostolat :
« Tout à l’heure, avec deux camarades qui se reconnaîtront, je croise un cycliste qui me hèle. Nous avons un commencement de discussion… sur la traduction du Notre Père et la formule “Ne
nous soumets pas à la tentation”… Et je lui donne mon adresse Mail, en lui laissant entendre qu’hélas, comme on dit dans les opéras, le devoir m’appelle… Je reçois à l’instant ce texte, où ce
jeune homme se présente et explicite non seulement la difficulté de la traduction, mais le doute que cette traduction fait planer sur l’Institution qui la cautionne. Je ne me livre pas au
bidonnage d’un journaliste médiocre, je vous fais simplement partager mon émotion… Voici ce texte. »
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