Non, vous n’êtes pas sur le site du CFCM ni de l’UOIF, mais bien sur Perepiscopus, qui ne fait que reproduire un article paru sur le site du diocèse de Lyon. Extrait :
L’Aïd el-Adha ou Aïd el-Kebir, signifiant littéralement la grande fête, est l’une des fêtes musulmanes les plus importantes. Elle marque chaque année la fin du pèlerinage à La Mecque, le dernier mois du calendrier musulman. La fête du sacrifice commémore la soumission d’Abraham à Allah, lorsque le patriarche était prêt à sacrifier à Allah son fils Ismaël (selon les musulmans, puisque que dans la tradition biblique il s’agit d’Isaac) sur son ordre.
Chaque famille musulmane, dans la mesure de ses moyens, sacrifie une bête (brebis, chèvre, mouton, vache ou chameau) en l’égorgeant couchée sur le flanc gauche et la tête tournée vers La Mecque. Une partie de la chair de ce sacrifice bénéficiera aux plus démunis parmi les musulmans affermissant ainsi la solidarité et l’assistance mutuelle tel que les prescrit Allah. C’est un jour de réconciliation où chacun est invité à pardonner à celui qui lui a fait du tort.
Pauvres brebis du diocèse de Lyon.