L’abbé Culat, prêtre du diocèse d’Avignon, défenseur invétéré du festival
satanique Hellfest, apprécie peu la chrétienté, comme il l’écrit dans le commentaire d’un article de Liberté Politique contre la réaction des catholiques au Kiss in :
“ Cela fait du bien de lire enfin sur ce
site une analyse intelligente et vraie des choses. Enfin un catholique qui lutte contre la dérive sectaire et fanatique de certains qui veulent tout régenter dans la société au nom de leur foi et
qui sont nostalgiques de la chrétienté. A quand une relecture du rapport Dagens signé par les évêques de France en 1996?”
La chrétienté, ce n’est pas de la nostalgie, c’est une réalité : c’est l’Evangile de la vie, c’est la civilisation de l’amour, c’est la fidélité de la France aux promesses de son baptême, comme
le demandait Jean-Paul II en 1980. Mais ces racines, le père Culat n’an a cure. Il préfère encourager, par ses propos et ses actes, la jeunesse de France à se déglinguer dans un festival débile.
Mais quel évêque aura le courage de dénoncer le scandale ?