Dans le journal diocésain de l’archevêché de Paris, Paris Notre-Dame, on lit :
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“Face au discours sanitaire ambiant sur la sexualité et à tout ce qu’ils entendent et voient sur le sujet, les adolescents sont souvent désorientés. Devant leur corps qui change, ils
peuvent s’inquiéter ou tourner en dérision ce qui est digne de considération. Pour leur donner une vision positive de la sexualité et les guider dans leur affectivité, plusieurs
propositions existent dans le diocèse de Paris.”
Parmi ces propositions, il y a l’école de l’amour :
- “L’originalité de l’école de l’amour est d’impliquer les parents en même temps que leurs enfants. Fondée il y a six ans par le P. Vincent de Mello, alors vicaire à St-Ferdinand des Ternes
(17e), cette formation a lieu sur un après-midi. Accompagnés par un parent –mère pour les filles, père pour les garçons –, les collégiens se retrouvent autour d’un enseignement donné par le
P. de Mello, désormais directeur du Bon Conseil (7e), ou par son successeur à St-Ferdinand, le P. Simon Chouanard. L’objectif ? Encourager enfants et parents à échanger sur les sujets
d’ordre sexuel et affectif. Après cette première mise au point, les parents sont pris à part par le prêtre : il leur explique qu’il est important de parler de la beauté de la sexualité et
d’en donner le sens, quelle que soit leur histoire. Les enfants, quant à eux, suivent un parcours en plusieurs étapes : introduction à la physiologie, temps sur l’affectivité et les
sentiments, moment de découverte des différences entre l’homme et la femme, échange sur les pièges de l’amour, et enfin, temps de prière. La vertu principale de cette école ? Libérer la
parole et permettre aux enfants d’établir un dialogue avec leurs parents sur les questions qui les préoccupent.”
Comme l’explique Frédéric Gautier, directeur diocésain de l’enseignement catholique, le diocèse de Paris
n’est pas soumis aux associations habilitées par l’Education nationale et bien souvent pro-avortement, voire pro-homosexualité,