Lors des obsèques de Philippe Séguin, le Cardinal André Vingt-Trois a longuement
évoqué la mort. Il a terminé ainsi :
évoqué la mort. Il a terminé ainsi :
- “Philippe Seguin a assumé dans sa personnalité si riche cet appel à servir les autres. Il l’a fait dans son parcours politique, comme dans son parcours de grand commis de l’Etat.
Il nous a montré que tout un chacun peut être toujours ouvert aux besoins de ses semblables. Aujourd’hui, avec confiance, nous le remettons à la miséricorde de Dieu. Et nous prions le
Seigneur pour qu’il éclaire nos cœurs et nos libertés pour que nous aussi, chacun dans le chemin qui est le nôtre, nous soyons capables d’entendre les appels qui nous sont adressés et d’y
répondre en nous mettant au service de nos semblables.”
Certes, prions pour l’âme de Philippe Séguin.
Mais rappelons aussi que cet homme politique fit partie des 8 députés du RPR (sur 138) à voter la loi Aubry du 4 juillet 2001 portant la dépénalisation de l’avortement de 10 à 12 semaines.
Je n’appelle pas cela de l’ouverture à ses semblables.