Dans l’Homme Nouveau du 7 novembre, Bernard
Antony rapporte ces propos de Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon, tenus au Liban :
Antony rapporte ces propos de Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon, tenus au Liban :
“En Europe, dans
les années après la Seconde Guerre Mondiale, on a promu une théologie et une pastorale de “l’enfouissement”. Or dans un contexte de sécularisation, l’Église, les chrétiens et le monde ont besoin de signes d’identification. Le christianisme ne peut pas être réduit
à une sorte de réserve symbolique ou esthétique, ni à un spiritualisme désincarné sans impact sur les réalités humaines.”
Voilà qui tranche avec ce que déclarait l’évêque d’Angoulême, Mgr Dagens, dans La Croix
du 2 novembre :
“cette visibilité n’est pas d’abord médiatique […] L’Église n’est pas faite pour se montrer“.