Mon Dieu ! quel charabia que ce “twitter” ! Comme s’il était impératif d’être à la mode. Et quelle futilité face au problème majeur de l’apostasie galopante dont le signe le plus évident est ce nombre incalculable d’églises fermées et même laissées à l’abandon faute de prêtres, faute de SAINTS prêtres, mais aussi faute de conservation de la foi chez les baptisés. Hier j’ai parcouru quelque 150 km dans l’arrièree pays, remarquant que toutes ces églises de villages étaient fermées. Pourtant, dans beaucoup de villages, un calvaire rappelait une mission, mais toujours datant de la fin du XIXe siècle. Voilà bien un sujet de préoccupation qui réduit à l’insignifiant le lancement d’un site Internet, car ce n’est pas ce site qui ramènera des adorateurs devant les tabernacles, aujourd’hui probablempent vides.
“Lorsque le fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ?” (Luc 18,8). Et sans la foi, peut-on être sauvé ?
PCH
Paul, il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites; vos propos sonnent très justes. Toutefois, l’internet est un canal d’évangélisation. Les techniques permettent d’envoyer des informations, et donc la meilleure de toutes, la Bonne Nouvelle, avec une efficacité plus grande. Là où ça “coince”, c’est quand ces techniques deviennent de joujoux, des gadgets. Comme vous, je suis navré en voyant notre Saint Père se faire photographier en train de “tweeter”. Je suppose que ce sont ses conseillers qui l’auront persuadé de se prêter à ce show “jeune”. Lui n’est pas du tout de ce genre “in”.
Je me souviens de la photo de presse de Jean-Paul II envoyant pour la première fois une lettre apostolique par courriel. En soi, ça n’a évidemment rien de mal, mais le fait d’en faire un scoop censé mettre en scène un pape “in”, c’est grotesque et je crains que cela ridiculise l’Eglise et l’Evangile en les rabaissant au niveau d’un “produit de com”.
Mon Dieu ! quel charabia que ce “twitter” ! Comme s’il était impératif d’être à la mode. Et quelle futilité face au problème majeur de l’apostasie galopante dont le signe le plus évident est ce nombre incalculable d’églises fermées et même laissées à l’abandon faute de prêtres, faute de SAINTS prêtres, mais aussi faute de conservation de la foi chez les baptisés. Hier j’ai parcouru quelque 150 km dans l’arrièree pays, remarquant que toutes ces églises de villages étaient fermées. Pourtant, dans beaucoup de villages, un calvaire rappelait une mission, mais toujours datant de la fin du XIXe siècle. Voilà bien un sujet de préoccupation qui réduit à l’insignifiant le lancement d’un site Internet, car ce n’est pas ce site qui ramènera des adorateurs devant les tabernacles, aujourd’hui probablempent vides.
“Lorsque le fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ?” (Luc 18,8). Et sans la foi, peut-on être sauvé ?
PCH
Paul, il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites; vos propos sonnent très justes. Toutefois, l’internet est un canal d’évangélisation. Les techniques permettent d’envoyer des informations, et donc la meilleure de toutes, la Bonne Nouvelle, avec une efficacité plus grande. Là où ça “coince”, c’est quand ces techniques deviennent de joujoux, des gadgets. Comme vous, je suis navré en voyant notre Saint Père se faire photographier en train de “tweeter”. Je suppose que ce sont ses conseillers qui l’auront persuadé de se prêter à ce show “jeune”. Lui n’est pas du tout de ce genre “in”.
Je me souviens de la photo de presse de Jean-Paul II envoyant pour la première fois une lettre apostolique par courriel. En soi, ça n’a évidemment rien de mal, mais le fait d’en faire un scoop censé mettre en scène un pape “in”, c’est grotesque et je crains que cela ridiculise l’Eglise et l’Evangile en les rabaissant au niveau d’un “produit de com”.