Ces derniers jours, j’ai constaté que le ton des commentaires devenait plus tendu entre les différents intervenants.
Bien que n’ayant aucune autorité pour cela, puis-je vous inviter, chers amis lecteurs, à davantage de charité fraternelle?
Il n’est pas inutile de se souvenir que, malgré nos inévitables divergences, nous partageons l’essentiel. Et, comme le dit l’antique adage: “In necessariis unitas, in dubiis libertas, in omnibus caritas”.
Nous tenons à ce qu’OV soit à la fois un lieu de débat sans “langue de buis”, mais aussi un lieu où les catholiques de diverses tendances puissent s’écouter (et, d’ailleurs, je vois mal comment il pourrait y avoir débat sans écoute).
En ce qui concerne les collaborateurs réguliers ou occasionnels d’OV, vous savez sans doute qu’ils ne sont pas d’accord sur tout (Deo gratias, car l’ennui, dit-on, naquit un jour de l’uniformité!…). En revanche, nous tenons à notre double fidélité: à la grande Tradition de l’Eglise et au magistère.
M. Ganimara, merci pour votre rappel. Vous avez raison, il est bien nécessaire d’appaiser les esprits pour permettre le recueillement de la Semaine Sainte.
Je me demande si certains échanges échauffés n’étaient pas à reprocher à des mal entendus. Par exemple, l’abbé Lobet s’est senti piqué quand j’ai parlé de “ses conneries”. En fait, j’ai utilisé le même expression que lui a utilisée à propos de Mgr Léonard sur son blog: http://rendez-vousavecbenoitlobet.blogspot.com/2010/10/etre-soi-meme.html L’abbé Lobet y parle de ses propres “conneries” et justifie ainsi que le terme n’est pas injurieux mais bon enfant et peut être utilisée vis-à-vis de l’archevêque. J’ai donc pensé qu’il n’y avait pas de problème pour l’utiliser vis-à-vis de lui. Je suis désole si l’intention a été mal compris.
Mais je n’ai moi-même rien souhaité d’autre, jamais, qu’un débat serein et contradictoire sur ce blog, hors de toute invective! Le mot par vous utilisé, cher Monsieur Vancauwenberghe, m’indiffère en effet, et je l’utilise souvent dans le sens comme vous le dites précisé sur le blog où vous avez la bonté de reporter nos amis lecteurs!
Merci M. Ganimara, pour ce rappel bien légitime aux règles de la bienséance. Le fait d’être Franc-Maçon d’une Obédience parfaitement déiste et qui fut refondée en 1.913 après la séparation de l’Église et de l’État, me donne aussi l’occasion de dire que nous sommes membres de mon Atelier, que sur présentation d’un certificat de baptême. Cependant d’autres Rites acceptent à la G.L.N.F. d’autres confessions, pouvons-nous les ignorer ou bien les chasser de nos travaux lorsqu’ils viennent nous visiter ? De plus et contrairement à ce qui se dit sur ce site, beaucoup de mes frères, dont je fais partie, sont, en 1.974, partis d’une certaine Obédience, lorsque son Grand Maître prépara les fameux textes de la loi sur l’avortement. Aussi, les choses ne sont pas si simples et ceux qui nous blâment, devraient savoir que qu’il se trouve aussi chez nous des ardents défenseurs de la Sainte Religion Chrétienne.