Lu sur le Salon beige:
“L’Eglise considère que tout homme a le pouvoir de changer, et cette vision est en opposition directe avec celle de l’oligarchie du SIDA, qui veut que l’homme soit la victime impuissante de ses passions et des circonstances. […]
La réduction des risques, qui est majoritairement la politique de l’oligarchie du SIDA, attend donc trop peu de la personne humaine. […] Ne pas reconnaître la capacité qu’ont les jeunes et les adultes de répondre positivement aux messages promouvant l’abstinence et la fidélité dans un contexte qui veut affirmer le don de la sexualité, c’est en dernier ressort leur rendre un mauvais service.”
(Matthew Hanley et Jokin de Irala, dans “L’Amour face au Sida”, Ed de l’Oeuvre)
on voit les singes dans un zoo se laisser aller à leurs pulsions sexuelles, les chats portés au vétérinaire pour être castré,l’homme, lui a la pleine liberté et responsabilité de ses actes une absence de maitrise de soi ne devrait être qu’exceptionnelle
la puissance extraordinaire exercée par Dieu lors de la transformation finale de Jésus (Résurrection) démontre que rien n’est impossible