Evidemment, “la Santa” a raison!
Mais le drame est que le peuple de Dieu a peu connaissance de la Bible. Lorsque je réunis des parents d’enfants qui sont en catéchèse, ou des jeunes gens qui demandent le mariage sacramentel, ou de jeunes parents qui demandent le baptême de leur enfant, je pose quelquefois la question de savoir si, de temps en temps, ils ouvrent une Bible. La réponse est presque toujours qu’ils n’en possèdent même pas. Et, pour les quelques-uns qui s’y sont essayés, qu’ils ne “possèdent pas les clés” pour y entrer. Tout le travail exégétique (remarquable, songeons à l’Ecole Biblique de Jérusalem, à l’Institut Biblique Pontifical de Rome, etc.) qui a été entrepris depuis le début du XXème siècle, reste à traduire dans la pastorale quotidienne, par des introductions, des sessions, des cercles bibliques, des groupes de lecture, etc. C’est ce renouveau biblique, qui manque tant au Catholiques et est si présent chez les Protestants, qui a entre autres inspiré les meilleures décisions (y compris liturgiques) du Concile Vatican II.
Alors, il est temps de retrousser ses manches!
On pourrait citer aussi cette belle phrase de saint Jérôme : “L’ignorance des Ecritures, c’est l’ignorance du Christ.”
Evidemment, “la Santa” a raison!
Mais le drame est que le peuple de Dieu a peu connaissance de la Bible. Lorsque je réunis des parents d’enfants qui sont en catéchèse, ou des jeunes gens qui demandent le mariage sacramentel, ou de jeunes parents qui demandent le baptême de leur enfant, je pose quelquefois la question de savoir si, de temps en temps, ils ouvrent une Bible. La réponse est presque toujours qu’ils n’en possèdent même pas. Et, pour les quelques-uns qui s’y sont essayés, qu’ils ne “possèdent pas les clés” pour y entrer. Tout le travail exégétique (remarquable, songeons à l’Ecole Biblique de Jérusalem, à l’Institut Biblique Pontifical de Rome, etc.) qui a été entrepris depuis le début du XXème siècle, reste à traduire dans la pastorale quotidienne, par des introductions, des sessions, des cercles bibliques, des groupes de lecture, etc. C’est ce renouveau biblique, qui manque tant au Catholiques et est si présent chez les Protestants, qui a entre autres inspiré les meilleures décisions (y compris liturgiques) du Concile Vatican II.
Alors, il est temps de retrousser ses manches!