La Cour de cassation italienne a proposé de permettre les adoptions d’enfants à ce qu’on appelle par antiphrase les “familles mono-parentales”.
Le cardinal Ennio Antonelli, président du Conseil pontifical pour la famille, a immédiatement rétorqué, avec bon sens:
“La priorité est le bien de l’enfant qui exige un père et une mère et c’est ce qui devrait être normal.”
J’ajoute que, quand on voit les listes d’attente pour l’adoption, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y a possibilité de faire adopter les enfants par des familles comprenant un père et une mère…