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Critiques contre la béatification de Jean-Paul II

Commentaires (5)
  1. Franz dit :

    C’est une béatification pour le moins rapide… Peut-être trop au regard d’un pontificat si long, si varié, si actif…
    En tant que catholique, j’aimerais que l’on me tranquilise sur quelques sujets : Assise, les légionnaires du Christ, la politique de JP2 au sujet des traditionnalistes,…

  2. de la Croix Guy dit :

    C’est parfaitement exact, Jean Paul II, d’après mes sources Mexicaines ( j’ai un fils qui vit au Mexique depuis 15 ans et fait partie de Regnum Christi (organe laïc militant des Légionaires )qui me dit que cela est officiellment connu chez les Légionnaires,J P II n’était du reste pas le seul à ne pas ignorer la chose , et n’a pas réagi , soit par souci de prudence , mais cela n’est pas justiciable…
    N’ayant pas droit au chapitre , je déplore toute fois moi aussi la vitesse avec laquelle on béatifie depuis Vatican II alors que Jeanne d’Arc a du attendre 500 ans et Anne Catherine Emmerich 200 environ…

  3. Ghalloun dit :

    Il faut voir aussi à partir de quand Jean-Paul II aurait été au courant de ces pratiques scandaleuses (pédophilie et fornication) du père Maciel, car dans les dernières années de son pontificat il était intellectuellement affaibli. D’ailleurs ses proches conseillers lui ont caché des scandales pédophiles pour l’épargner.

  4. Christophe Buffin de Chosal dit :

    J’ajouterais encore une couche. Le gouvernement de l’Eglise sous Jean-Paul II a été catastrophique. Il était entouré d’un personnel ecclésiastique infidèle à l’Eglise et souvent corrompu (notamment par le P. Maciel). Il a nommé de nombreux évêques qui étaient fort éloignés de la foi et de la discipline de l’Eglise (par exemple Gaillot ou Vangheluwe, pédophile avant d’être évêque) et qui lui désobéissaient allègrement sans encourir la moindre sanction. Il est pour le moins étonnant qu’il ne sût rien de tout cela. Son devoir était de savoir et d’apporter un remède adéquat à une situation qui a causé des dommages infinis à la foi catholique.

  5. Cette lettre est envoyée à Rome le 15 mars 2011; Je n’ai pas eu de réponse.

    Cher Pape Benedict XVI,
    L’église catholique est en désarroi. Il se montre dans des signes petits. Par exemple, j’ai demandé Mgr van Luyn, l’évêque de Rotterdam par lettre en recommandé un avocat ecclésiastique pour m’aider dans un processus, qui dure maintenant 5 années, de recevoir un certificat de nullité de la célébration du mariage et, pendant les douze derniers mois de son administration, je n’ai pas reçue une réponse.
    C’est la même chose avec les lettres qua j’ai envoyé à votre personne : pas de réponse, malgré qu’il concerne des choses extrêmement sérieuses. Je les répète dans cette lettre.
    Pour être sur que vous recevez cette lettre-ci, je l’ai envoyé aussi à la presse.

    Le problème est la béatification de votre processeur, le pape Jean-Paul II ; je laisse vous savoir mes objections sévères à cette béatification.
    Je vous donne les objections suivantes :
    1. L’influence réciproque de la personne du juge et de la personne jugée
    1a. La présence de votre personne comme juge dans cette matière
    1b. Votre statut comme conseiller de votre prédécesseur
    2. L’inconsistante logique de l’Église Catholique depuis Vaticanum II
    3. La cause de la pourriture des mœurs dans l’Église
    3a. Chez les croyants.
    3b. Chez les prêtres et
    3c. en relation avec la personne de votre prédécesseur
    4. Les guérisons miraculeuses nécessaires pour les béatifications.

    1. L’influence réciproque de la personne du juge et de la personne jugée

    1a. Votre personne comme juge dans cette matière
    Comme dans chaque processus, le juge doit être sans préjugés envers la personne laquelle il jugera.
    Il est impossible que le juge qui prononcera un jugement en faveur ou contre une personne soit dans quelque relation personnelle avec cette personne ; ni être émotionnellement lié avec cette personne.
    Cependant, vous, comme juge principale dans le processus de J-P II, ne répond pas à cette revendication. Non seulement la relation intellectuelle et administrative avec votre prédécesseur était très étroite mais aussi la relation émotionnelle ce qui s’aurait montré par votre oraison funèbre.
    Vous avez cru que, malgré votre engagement étroit, vous pouviez prononcer un jugement. Ceci, nous l’avons comprit, est contraire à la possibilité d’exprimer un jugement vrai. C’est à une autre personne de juger. Dans ce cas, la personne qui est compétent, n’est pas autre qu’un de vos successeurs. Lui seul. À mon avis il faut renvoyer le processus à une date ultérieur, après son installation. La tradition de l’Église nous apprend que les béatifications, ni les sanctifications, ont hâte d’être réalisées
    conclusion
    L’influence de J.P. sur la personne de son juge, fait le jugement de ce dernier non valable

    1b. Votre présence comme conseiller de votre prédécesseur
    Pour autant que ce fût possible chez une personne comme J – P II, l’influence inverse, celle du théologien Ratzinger à le Pape J-P II, est aussi importante. Il s’agit de l’idée du Cardinal Ratzinger de la Transsubstantiation (publiée en 1978, l’année de l’ordination du Cardinal Wojtyla au Papauté). Je vous ai écrit l’année passé de cette idée: à base des sciences modernes l’auteur dit que le pain reste pain. Il ne serait aucun changement essentiel du pain au corps du Christ. Par la titularisation de l’auteur dans le Vatican et la continuation de ce poste important en tenant en même temps cette idée, votre prédécesseur indique qu’il était d’accord avec ceci qui s’écarte tellement de la vérité de la fois traditionnelle. En tous cas l’inconsistance de la vérité est rentrée dans l’Église. Je pense que c’est intenable. J’écrirai les conséquences dans le point deux. Je suppose que ce n’est pas en harmonie avec une béatification.

    conclusion
    Le Pape J.P.II n’a pas condamné un jugement faux sur la Transsubstantiation. C’est pourquoi il s’est chargé directement ou indirectement d’un jugement faux du cardinal Ratzinger sur la Transsubstantiation.

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    2. L’inconsistante logique de l’Église Catholique depuis Vaticanum II.

    Comme nous avons vue, ils existent maintenant dans l’Église deux idées sur la Transsubstantiation ; le dogme traditionnel basé sur St Thomas et l’idée moderne avec le cardinal Ratzinger coresponsable : le pain reste pain.
    Il me semble et j’espère que vous êtes d’accord, que la deuxième est en contradiction totale avec la première. Donc, la même organisation possède deux vérités contradictoires. C’est-à-dire que dans la doctrine de l’Église ils existent deux idées en contradiction, celle d’avant Vaticanum II, l’autre déjà avec elle, mais certainement après cette concile (1978, date de publication du livre de Cardinal Ratzinger et l’ordination Papale de J-P II).
    Comme logicien il est nécessaire de conclure que dans le cœur de la doctrine de l’Église catholique l’exposé du cardinal Ratzinger a emporté une inconsistance concernant la vérité des dogmes de la fois.
    Cette inconsistance signifie, que la crédibilité de l’Église à partir de Vatican II ou certainement de 1978 est disparût. Certainement, à partir d’une vue traditionnelle. Il me semble qu’il faut conclure que la doctrine de l’Église est devenue invraisemblable et inconsistante, parce que chaque institution, l’Église après Vatican II incluse, avec deux vérités de la même chose a joué son droit de proclamer des jugements vrais. L’une année/siècle quelque chose est vrai ou tolérable, l’autre non.

    Avec l’article dans « Gott ist uns nah » l’Église possède deux idées sur la Transsubstantiation qui sont en contradiction. celle de la tradition et celle du cardinal Ratzinger. Comme défenseur de la foi, J.P.II aurait proclamé la vérité de la formulation veille et la fausseté de la formulation nouvelle. Si non, il a laissé L’Église avec deux formulations contradictoires. Dans ce cas l’Église est devenue et par la négligence du J.P.II, restée, une institution inconsistance. Par cette négligence il est impossible pour l’Église de formuler des dogmes vrais. Le retour à la tradition seul peut guérir ce cancer. Ceci n’est pas un jugement théologique, mais une vérité logique avec une validité générale envers l’autorité des personnes dans quelque institution que ce soit.

    Il y a une autre approche qui part de la vérité des dogmes traditionnels et les compare avec ce que le cardinal Ratzinger dit sur la Transsubstantiation. Il se montre que ces dernières ne sont pas conformes au dogme qui va avec elles, puisque l’auteur sépare injustement le nomme de la signification traditionnelle (la ‘Transsubstantiation’), de la définition de l’essence. La définition devient autre, tandis que le nomme reste le même, ce qui est non valable.
    conclusion
    jamais la tradition de la fois Catholique n’a été en contradiction avec le passé. C’est-à-dire la vérité d’un nouvel dogme n’est en aucune manière opposée à ce que l’Église a enseigné avant elle. Si quelque opinion est inverse, le magistrat l’a nommé hérétique. C’est la mission du magistrat que la vérité de la fois reste intacte.
    Depuis Vatican II, ceci n’est plus vrais. Sans manifester sa connaissance suffisante du Thomisme J-P II a prit directement ou indirectement l’opinion fausse du cardinal Ratzinger sur la transsubstantiation.
    Je suppose que ce n’est pas en harmonie avec une sanctification.

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    3. La cause de la pourriture des mœurs
    document humain
    3a. Chez les croyants. Dans les années sexagénaire et septuagénaire il y a de bons catholiques qui perdent leur fois. à cause des bagous nouveaux de leur clergé. Leur missel, une source sûr pour la foi, était échangé contre verbiage. La croyance dans la Présence Réelle du Christ leur est enlevée (il reste pain), rester dans l’Église après la Messe ne se fait pas; les mœurs étaient violées, St Thomas étaient changé pour la pensée moderne comme la phénoménologie. La tromperie gouverne dans l’Église. Il est inimaginable combien de chagrin cela a causé chez des familles. Beaucoup ont perdu la base de leur vivre et de leur mourir. Comme consolation les femmes commencent à user la pilule ; Le Pape Paul VI était trop tard.

    3b. Chez les prêtres
    La vie des prêtres, qui se trouvent entre les croyants et les évêques, étaient extrêmement difficile. Dans le soixantième, j’étais généraliste dans une paroisse avec une communauté religieuse. J’ai participé leurs problèmes de près. Il y a des prêtres brisés, ou ils ont perdu les pédales ; d’autres ont perdus leur fois et ont emmené leurs croyants. Dans ce temps je n’avais pas mon cabinet à Brabant, mais j’ai beaucoup de compréhension pour la conduite de ces prêtres dans le Brabant. Je l’ai écrit à la Commission Deetman, un instrument parfait pour camouflé la responsabilité des dirigeantes. À mon avis les seuls responsables sont les évêques, qui participaient au Concile de Vaticanum II, entre autre le Cardinal Wojtyla (ordonné évêque 1958).
    3c. et la personne de votre prédécesseur
    Cher Benoit, Vous jugez votre prédécesseur d’une manière positive. Par sa personnalité écrasante et théâtrale beaucoup de gens lui juge aussi positivement. Notamment ses compatriotes et la jeunesse. Mais nous l’avons vue qu’il jouait un rôle important dans les changements par Vatican II. Comme Pape il a envenimé la situation. Est-il possible de béatifié une telle personne ? Mais oui on peut dire; chez beaucoup des gens il était très populaire ; il a produit une vive impression sur un rassemblement des peoples, il savait parler avec la jeunesse dans leur rendez-vous ; il a adapté (changé) la théologie et la matière de vivre catholique à la tendance moderne, n’aimait pas la contradiction, en bref il jouait le grand leader.
    Il n’est pas nécessaire de retourner à Napoléon pour un exemple ce qu’il a suivit consciemment ou inconsciemment. Pendant le temps de guerre nous avons vu des leaders, aussi populaire chez la masse et la jeunesse comme ce pape. On peut comparer ces personnes. Chez le premier il agit de millions de personnes qui sont tués, chez l’autre il s’agit de millions d’âmes qu’on a prit la foi dans la vie éternelle. L’un a prit le cœur vivant de l’Europe, l’autre le cœur spirituel chrétien. Ainsi, en passant les églises vides, j’aie la même sensation comme je sens en passant les cimetières de guerre ; ceux qui doivent être vivant sont morts ; ceux qui doivent vivre avec Jésus sont devenue des incroyant sans le Christ ; cela n’était pas par leur propre faute, mais parce que la direction de l’Église catholique leur a prit la fois vivant de leur cœur. Votre prédécesseur n’est pas le moindre de ces responsables.

    Conclusion
    Il y a des gens qui lui aiment, pourtant il n’est pas nécessaire qu’un homme aimable soit bienheureux. Cela est surtout vrai pour un homme qui a infirmé la fois traditionnelle et qui est coresponsable pour le mal et la douleur des gens qui l’ont subit.
    Je suppose que ce n’est pas conforme à une béatification.

    4. Les guérisons miraculeuses nécessaires pour les béatifications.

    Remarquablement, la médecine moderne joue un rôle central dans la béatification et sanctification par l’Église. Dans le cas qu’un malade guérit et la clinique n’a pas une explication pour cette guérison, l’Église le considère comme un miracle. Cela veut dire que dans le cas de la béatification, etc. l’Église est totalement dépendante de la science de la clinique. Ceci est en accord avec la mentalité de ce groupe médicale, puisque elle ne tolère pas aucun système médical à côté d’elle. C’est totalement injuste. La science clinique est une approche du malade à partir d’un système scientifiquement limité. Pourtant elle s’est sacré roi absolu envers tous les malades. Il est inquiétant que l’Église s’incline devant ce système, aussi inquiétant comme se livré à un système scientifiquement limité. Nous avons indiqué cette situation intenable en relation avec la Transsubstantiation.

    Comme médecin homéopathique débutant j’ai visité Lourdes dans les sexagénaires. On m’a permit de consulter les dossiers des guérisons miraculeuses. Il m’a frappé qu’au moins une de celles était bien explicable avec des vues scientifiques hors de la clinique. J’ai tu, je n’étais pas assez développé pour critiquer.

    Avec J-P II il était un grande nombre des sanctifications et donc des miracles. Un pro cas. Il me semble que le Seigneur était très occupé avec les miracles. Mais l’apparence peut tromper et je mets cela en doute. Il est possible que beaucoup de ces ‘miracles’ peuvent être expliqués en d’autres systèmes scientifiques. Il me semble utile que le miracle pour la béatification de J-P II lui-même doit être aussi étudié par d’autre système que la clinique seule. Il est clair qu’on doit dissiper les doutes légitimes avant qu’une béatification puisse être jugé juste.
    .
    La conclusion
    Le texte ci-dessus est clair. Il semble que plus d’une guérison ‘miraculeuse’ peut être expliqué avec l’aide des systèmes scientifiques autres que la clinique. Il est donc nécessaire que le miracle du Pape J-P II est examiné d’une manière précise.

    Cher Pape Bénédict XVI

    J’ai constaté que la béatification de votre prédécesseur est un cas avec beaucoup de points négatifs. Elle n’est pas un précis et prudent traitement de la vérité, elle avait trop de signales qui contredisent une telle nomination.

    -L’influence réciproque de vos deux personnes,
    -La responsabilité de votre prédécesseur pour le maintien de l’inconsistance logique
    -La coresponsabilité pour la corruption des mœurs causées par Vaticanum II
    -la base défectueuse des miracles
    chacun indique un manque des preuves réelles. Pourtant la détermination pour la sanctification ne s’occupe pas premièrement de sa personnalité impressionnante mais du courage avec lequel il a défendu la foi catholique orthodoxe. La première peut avoir impressionner beaucoup des gens et les éveiller, l’autre aspect indique que ce mouvement a prit la route fausse et s’avait dévoué pour une autre foi que la foi catholique traditionnelle.
    Si on veut honorer une personne importante et admirée, les aspects négatifs restent souvent en dehors des champs visuels. Avec amitié, je vous tends quelques de ces aspects. J’espère que vous voulez remettre le procès du béatification à votre successeur
    note.
    La base des conclusions ci-dessus est formée par mes deux spécialités, la médecine et la philosophie.
    Je réagis aux théologiens qui usent des jugements physiques, logiques et médicales d’une manière faux.

    Veuillez agréer, cher Pape Benoit l’expression de mes sentiments distingués.

    Voorschoten Mercredi des Cendres 2011

    p.m.c. van Kempen.