Faisant un bilan de l’année judiciaire 2010, le promoteur de justice de l’Etat de la Cité du Vatican (poste qui équivaut plus ou moins à celui de procureur général), Nicola Picardi, a relevé deux événements majeurs: l’agression de Benoît XVI par une jeune déséquilibrée durant la messe de Noël 2009 (dont nous avions notamment parlé ici et là) et l’adoption toute récente de lois visant à lutter contre le blanchiment d’argent sale et le financement du terrorisme (dont nous avons parlé ici).
Bonjour,
Voici la dernière nouvelle du jour… qui soulève de TERRIBLES questions sur l’Eglise Apostolique et Romaine :
– comment est-il possible qu’un curé de campagne puisse disposer de 200 000 euros d’économies ???
– comment est-il ADMISSIBLE que ce curé de campagne, depuis quatre ans, ait des relations sexuelles homosexuelles alors qu’il a prononcé” des vœux de CHASTETE ???
– comment est-il ADMISSIBLE que ce curé de campagne ait pu détourner l’argent que lui donnait ses fidèles pour refaire le toit de son Eglise ; ignore-t-il donc que le Christ a chassé les marchands du Temple ce qui lui a valu d’être CRUCIFIE et que ce sacrifice est un exemple , une référence pour l”humanité entière ????
Le DESHONNEUR DEFINITIF, par cette histoire , est apporté à votre Eglise qui, comme l’avait annoncé les Pères de votre Eglise, doit se retirer après ses 2000 ans d’existence, qui, comme l’annonçait Malachie et comme cela est gravé dans les pierres de St Paul Hors les Murs, voit actuellement le règne de son dernier PAPE s’achever dans la HONTE et l’opprobre générale….
Je SUIS celui qui SUIS car je SAIS ce que je SAIS, mais je ne SUIS personne … et, à ce titre, je vous rejette tous pour ces pêchés irréparables et impardonnables!
http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/19/993461-Le-cure-payait-la-drogue-de-son-amant.html#xtor=EPR-1
Publié le 19/01/2011 08:19 – Modifié le 19/01/2011 à 09:58 | Guillaume Atchouel
Le curé payait la drogue de son amant
Gard
Pour financer le train de vie de son amant, le prêtre a donné ses économies et de l’argent provenant de dons destinés à la réfection du toit de l’église de sa paroisse./Photo DDM, J.-L. P.
Un curé du Gard avait un amant depuis quatre ans. Fou amoureux, il lui a donné plusieurs centaines de milliers d’euros pour lui permettre de vivre grassement et de se payer sa drogue. Si l’homme d’église a puisé dans ses économies, il s’est aussi approprié des dons destinés à la réfection du toit de son église.
C’est par le démantèlement d’un réseau de trafiquants de drogue que les surprenantes meurs et les malversations d’un prêtre du Gard ont été mises au jour. Au terme de plusieurs mois d’investigation, les enquêteurs du service régional de police judiciaire de Montpellier interpellent trois personnes en juin 2010.
La semaine dernière, une dizaine d’autres sont placées en garde à vue à Nîmes. Parmi elles, deux frères. L’un a été écroué en qualité de dealer et l’autre, un jeune homme d’une vingtaine d’années, arrêté pour avoir consommé d’importantes quantités de cocaïne provenant de ce trafic. Les policiers ne vont pas tarder à découvrir comment ce dernier parvenait à financer sa consommation.
SES ECONOMIES MAIS AUSSI LES DONS DES FIDELES Y SONT PASSES !
Lors de son audition, il a expliqué que c’est un curé de campagne avec qui il entretient une liaison amoureuse et charnelle depuis quatre ans qui lui donne tout cet argent.
L’ecclésiastique, placé à son tour en garde à vue, a reconnu cette liaison et ces dons. « Je lui ai donné ces sommes pour qu’il puisse vivre et faire la fête ». Il aurait cependant juré ne pas savoir que « son amant achetait aussi de la drogue avec cet argent ».
Le curé lui aurait ainsi donné toutes ses économies – près de 200 000 € ! – pour permettre à son ami de mener la belle vie. L’enquête a également démontré que le prêtre lui a aussi donné de l’argent qu’il avait sollicité auprès de paroissiens pour… réparer le toit de l’église…
Informé de ces détournements, l’évêché du Gard aurait versé plusieurs milliers d’euros pour rembourser ces donateurs.
L’abbé, très affecté par cette affaire, a été laissé en liberté. Aujourd’hui, il ne « souhaite pas s’exprimer sur cette histoire » ni sur sa position désormais pour le moins délicate au sein de l’Église. Il a seulement indiqué que « malgré tous ces tourments sa foi était toujours intacte ».
En raison de l’émotion et du trouble que sa conduite suscitent auprès des fidèles, il n’est pas impossible qu’il soit muté dans une autre paroisse.
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« Un homme de foi et de cœur »
Si de nombreux paroissiens sont choqués par les agissements de leur prêtre qui entretenait une relation homosexuelle et versait à son amant l’argent provenant de dons de fidèles, d’autres ne veulent pas que « cette affaire efface toute la disponibilité, toute la générosité et l’engagement dont a toujours fait part ce prêtre ». Et certains de rappeler « que nous n’avons pas à juger notre prochain mais plutôt à lui tendre la main dans des moments difficiles ».
Il n’en demeure pas moins que cette histoire ne contribue pas à donner une bonne image de l’église déjà mise à mal par de trop nombreux scandales liés, notamment, à des affaires de pédophilie.
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Le chiffre : 200 000
euros > d’économie donnés. Le prêtre a remis ce montant à son amant avant de lui verser des fonds provenant de dons de fidèles. Une grosse partie de cet argent a servi à acheter de la drogue.
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La phrase
« Je lui ai donné ces sommes pour qu’il vive et puisse faire la fête. » Le prêtre de cette petite paroisse du Gard
Michel FOURNIER ( Gortyne – Crète)
http://knol.google.com/k/le-labyrinthe-du-minotaure-%C3%A0-dieu#