Je parlais hier de la réception de l’ambassadeur du Chili par Benoît XVI. Il faut aussi mentionner ce point important dans le discours pontifical:
“Il est plus que jamais important de répondre aux menaces contre l’identité culturelle, en favorisant notamment parmi les jeunes la fierté de la foi, en revalorisant l’histoire, la culture, les traditions et l’héritage artistique, qui constituent le meilleur du patrimoine culturel chilien.”
Alors qu’en entendant les “élites” européennes, on aurait presque l’impression que l’identité est le pire des maux, on voit que, dans l’anthropologie catholique, il est parfaitement normal d’être enraciné et que la foi n’exclut pas – bien au contraire – l’attachement à ses traditions…