Recevant hier le nouvel ambassadeur du Chili, Benoît XVI a déclaré:
“Lorsque l’Eglise hausse le ton face aux grandes questions comme la guerre, la faim, la misère, la défense de la vie de sa conception à sa fin naturelle, la protection de la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme, et première dispensatrice d’éducation, elle n’agit ni pas par intérêt ni selon les seuls principes découlant d’un Credo. En respectant les règles démocratiques, elle agit pour le bien de la société toute entière, au nom de valeurs que la raison permet à tous de partager.”
Est-il besoin de préciser que ces règles démocratiques ne peuvent pas être les “règles” illégitimes de la démocratie relativiste qui prétend modifier la vérité et notamment la vérité sur la nature humaine.