Christophe Saint-Placide, qui a révélé au public français l’affaire du départ du chanoine Escher
de l’abbaye de Saint-Maurice (Suisse) pour Ecône, apporte ces derniers jours d’intéressantes précisions dans deux nouveaux articles (ici et là).
On notera en particulier la présence de “raisons doctrinales” dans les motivations du départ. Malheureusement,
elles ne sont pas précisées. Mais il est clair que, de ce point de vue, la crise de l’Eglise est d’autant plus loin d’être terminée que l’autorité compétente se refuse toujours dans l’immense
majorité à dire ce qui est du domaine de la libre discussion et ce qui est du domaine de l’hérésie.
Et on notera, en matière liturgique, la lourde responsabilité des autorités qui refusent d’apploiquer les
mesures pacificatrices prises par Benoît XVI… Autorités qui, comme de juste, sont les premières à déplorer les “blessures de l’unité” causées par le chanoine Escher!