Je lis sur le site de l’agence Zenit une courte et excellente synthèse sur les innombrables déformations que les médias
ont apportées à la vérité dans le contexte de la crise qui a frappé l’Eglise avec la révélation de nombreux scandales pédérastiques.
En particulier, l’auteur rappelle qu’il est faux que Benoît XVI ait caché la vérité, ou qu’il ait refusé de
demander le pardon des victimes. Et il rappelle que le cardinal Ratzinger avait naguère demandé d’appliquer une politique plus ferme:
“Quand celui qui était encore le cardinal Joseph Ratzinger a pris en main la gestion de ces cas, il a changé
d’attitude et pris plus clairement conscience du sérieux de la situation et de la nécessité d’adopter des mesures beaucoup plus radicales.
C’est ainsi qu’il a été conduit à composer les méditations du Chemin de croix du vendredi saint en 2005, peu avant la mort de Jean-Paul II. Pour la Neuvième Station, il a scandé : « Que de
souillures dans l’Église, et particulièrement parmi ceux qui, dans le sacerdoce, devraient lui appartenir totalement ! ».”
Un rappel utile…