Je lis sur le Salon
beige le récit effrayant d’un petit foetus avorté, mais encore vivant en Italie. Comme
le déclare Mgr Santo Marciano, archevêque
de Rossano-Cariati : “Le cas de ce fœtus doit conduire la société civile à réfléchir sur le caractère dramatique de l’avortement en tant que suppression d’un être humain et, dans ce cas, sur
le caractère illicite de la définition du thérapeutique.”