Dans l’allocution de Benoît XVI au nouvel ambassadeur de
Belgique près le saint-siège, dont je parlais lundi, on lit aussi ceci:
“Je désire souligner aujourd’hui que pour porter du fruit à long terme, l’art
du consensus ne se réduit pas à une habileté purement dialectique, mais doit rechercher le vrai et le bien. Car « sans vérité, sans confiance et sans amour du vrai, il n’y a pas de conscience ni
de responsabilité sociale, et l’agir social devient la proie d’intérêts privés et de logiques de pouvoir, qui ont pour effets d’entraîner la désagrégation de la société, et cela d’autant plus
dans une société en voie de mondialisation et dans les moments difficiles comme ceux que nous connaissons actuellement » (Caritas in veritate, n. 5).”
Encore une fois, redisons-le: on ne peut rien fonder sur le relativisme et
certainement pas une cité harmonieuse!
Source: Zenit