Une dernière citation de ce beau discours de Benoît XVI à l’Institut Jean-Paul II, dont je parlais hier:
“Le corps nous enseigne la valeur du temps, de la lente maturation dans l’amour. Dans cette lumière, la vertu de la chasteté reçoit un nouveau sens. Ce n’est pas un « non » aux plaisirs et à la joie de la vie, mais un grand « oui » à l’amour comme communication profonde entre les personnes, qui exige temps et respect, comme chemin parcouru ensemble vers la plénitude et comme amour qui devient capable d’engendrer la vie et d’accueillir généreusement la vie nouvelle naissante.”
Faut-il rappeler au passage que la chasteté est une vertu à laquelle nous sommes tous appelés, quel que soit notre état de vie – et qu’elle n’est pas synonyme de continence parfaite (on peut être chaste dans le mariage, comme on peut ne pas être chaste malgré les voeux religieux)?
et les enfants grandissent dans la satisfaction immédiate de leurs désirs ; ce sera difficile d’attendre à l’adolescence. il faudrait changer l’éducation