Mgr Celestino Migliore, observateur permanent du saint-siège à l’ONU, est intervenu devant la commission sur le statut de la femme du Conseil
économique et social des Nations Unies, et a fermement critiqué le fait que les documents des conférences internationales insistent sur le “lien entre obtention des droits personnels,
socio-économiques et politiques, et notion de santé sexuelle et de droits reproductifs. Ceci constitue une violence faite aux êtres en gestation tout en agressant les besoins réels des femmes et
des hommes. Une solution respectueuse de la dignité de la femme ne faire fi du droit à la maternité, qu’il faut promouvoir et non compromettre en améliorant les systèmes de santé et, en
particulier, les services maternité.”
Il est bon de rappeler, en effet, que pour les institutions internationales, “santé sexuelle” ou “droits reproductifs” sont des noms de code pour le prétendu droit à l’avortement…
Source: VIS