Nos confrères de La Croix s’étonnent de la permanence du culte des reliques en Italie : ainsi l’ostension de celles de saint Antoine de Padoue attire 2 500 fidèles par heure. Il suffit de
leur rappeler que nous croyons à la résurrection de la chair, et que donc, en vénérant les restes terrestres d’un saint, nous touchons en fait, pour ainsi dire, à son corps glorieux, à la vision
béatifique à laquelle nous aspirons. Je comprends que cela soit incompréhensible pour quelqu’un qui ne croit pas à l’autre monde ; j’ai plus de mal à comprendre les réserves de catholiques…
Source : La Croix