Je découvre, sur le blog de Christophe Saint-Placide, cette déclaration scandaleuse du grand rabbin de Rome, le rabbin Di Segni: “Si la paix avec les lefebvristes conduisait à abandonner l’ouverture du Concile, l’Église devra décider: soit eux, soit
nous!” De quel droit se permet-il d’intervenir – et même d’exercer une forme de chantage – dans des discussions doctrinale qui sont strictement internes à l’Eglise? Imaginez le tollé médiatique si
Benoît XVI exigeait que les écoles talmudiques enseignent la doctrine de tel rabbin plutôt que celle de tel autre?