Un lecteur, que je remercie vivement, apporte quelques précisions fort utiles à mon article du 27 janvier sur
l’Institut pour les œuvres religieuses : « Mgr Piero Pioppo a été confirmé en 2009 au poste de “Prélat de l’IOR”… Il faut savoir que ce poste, depuis la réforme de l’IOR sous le pontificat de
Jean-Paul II, est plus symbolique que décisionnaire… Le vrai pouvoir à l’IOR est détenu par le directeur (un laïc : Gotti Tedeschi), par le cardinal Secrétaire d’État (Bertone) et par la
commission des cardinaux membres. Mgr Pioppo fut confirmé dans ce “placard doré”, en attente d’une promotion archiépiscopale (nonciature) et aussi parce que le cardinal Secrétaire d’État émérite
Sodano, en tant qu’actuel doyen du Sacré Collège avait le privilège de part sa fonction de garder un secrétaire particulier “de luxe” (conseiller de nonciature de 1ère classe). »