Grâce au blog d’Yves Daoudal, je remarque ces lignes dans l’Angélus de Benoît XVI, dimanche 10 janvier : « Du Baptême dérive aussi un modèle de
société : la société des frères. On ne peut pas établir la fraternité avec une idéologie, encore moins avec un décret d’un quelconque pouvoir constitué. On se reconnaît frères à partir de la
conscience humble mais profonde d’être enfants de l’unique Père céleste. » Une pierre dans le jardin de la République, qui criait naguère : « Salut et fraternité, ou la mort ! »