Mgr Chauvet, vicaire général de Paris, a récemment rappelé la position du Saint Siège en matière d’éducation devant
l’UNESCO. Il a notamment rappelé des points fondamentaux, trop souvent oubliés de nos jours:
« Si l’enfance est l’étape de la discipline, c’est-à-dire pour devenir disciple, où il y a l’apprentissage des règles qui protègent le trésor d’amour que tout enfant porte, l’adolescence, elle,
suppose le temps du progrès, à partir notamment des vertus cardinales avec la découverte de la loi nouvelle, celle de la liberté. »
« Le modèle de l’éthique du code, ce que l’on nomme “la morale de l’interdit et de l’obligation”, est en train de perdre son hégémonie », a poursuivi Mgr Chauvet.
Or, la loi « est indispensable dans la construction de la personne à l’âge de l’enfance ».
Que la loi soit nécessaire à la construction de la personne et à sa pleine liberté, il n’y a plus guère que l’Église à le dire dans notre monde…