Le 10 novembre, devant l’assemblée générale de l’ONU, Mgr Celestino Migliore, observateur permanent du saint-siège
aux Nations unies, a déclaré:
“Il y a un siècle et demi, au début de la révolution industrielle, la religion était décrite comme “l’opium des peuples” ; aujourd’hui, dans le contexte de la mondialisation, elle est de plus
en plus considérée comme la “vitamine des pauvres”.”
Une formule percutante, à diffuser sans modération!