Le cardinal Bagnasco, archevêque de Gênes, et président de la conférence épiscopale italienne, a déclaré que l’idée
loufoque du vice-ministre Adolfo Urso de donner dans les écoles une heure d’enseignement facultatif sur la religion musulmane ne reposait sur “aucune motivation raisonnable”.
Le vice-ministre Urso, membre d’Alliance nationale, prétendait calquer cette heure de religion musulmane sur l’heure (obligatoire) hebdomadaire que les écoles sont tenues de consacrer à l’étude du
catholicisme, en vertu du concordat de 1929.
Mais, comme le rappelle le cardinal Bagnasco, le rôle du catholicisme dans l’histoire italienne n’est pas exactement celui de l’islam!…