Dans son discours du 26 septembre devant le président tchèque Vaclav Klaus, le Pape a une nouvelle fois rappelé que
la liberté sans la vérité n’était que du libertinage, attentatoire non seulement à l’honneur de Dieu, mais encore à la dignité de la personne humaine.
Il a profité de l’occasion pour déclarer aussi:
“En fait, loin de menacer l’acceptation des différences et la pluralité culturelle, la recherche de la vérité rend possible un consensus, elle permet au débat publique de demeurer rationnel,
honnête et responsable, et elle assure une unité que les vagues notions d’intégration ne peuvent tout simplement pas offrir.”
Le refus de reconnaître une vérité transcendante au-dessus de tous les hommes transforme donc les démocraties actuellement existantes, toutes bouffies de cette prétendue éthique procédurale et de
cette recherche du consensus indépendant de la vérité, en véritables totalitarisme.
Sans vérité, pas de liberté et pas de société!
Il serait temps que les fidèles catholiques, tout spécialement ceux qui sont engagés en politique, s’en aperçoivent!