L’agence Zenit a cité récemment (ici) des extraits de l’homélie de Mgr Twal, Patriarche latin de Jérusalem, au cours de la Messe de
minuit. On y lisait notamment : « C’est une terre qui souffre et qui espère. Ses habitants vivent en frères ennemis. Quand comprendrons-nous qu’une terre ne mérite le qualificatif de “sainte” qu’à
partir du moment où l’homme qui y vit devient saint ? » Et encore : « Cette terre ne méritera vraiment d’être appelée “sainte” que lorsque l’on pourra y respirer la liberté, la justice, l’amour, la
réconciliation, la paix et la sécurité. » Avec l’Incarnation, nous avons reçu les arrhes de notre paix définitive, mais nous languissons dans l’attente de cette paix. Le mystère de Noël qui nous
ramène en Terre sainte, et nous fait chanter la paix que Dieu promet aux hommes de bonne volonté, nous conduit à redoubler d’ardeur pour prier pour la paix en Terre sainte…